Classe II division 2
- distoclusion de l’arcade mdblaire/ arcade maxillaire
- palatoversion des incisives maxillaires avec diminution du
surplomb
- supraclusion incisive
Fréquence:
- relativement rare (2 à 3% de la population générale)
1) – plus fréquente chez la femme que chez l’homme (R/R de 3 pour
Rappels embryologiques
Pour Schwartz, au 2ème mois VIU: endognathie Ire, puis prognathie fœtale à cause de la langue qui se porte en bas et en avant, et une rétrognathie IIre au moment disparition du cartilage de Meckel.
Cette rétrognathie est physiologique à la naissance
Rôle morphogénétique des systèmes musculaires → Massif facial sup.
Rôle morphogénétique des systèmes musculaires → Mandibule
Typologie faciale
Rotation
antérieure
Rotation
postérieure
Croissance des procès alvéolaires
Influencée par
- Facteurs généraux: hérédité, hormones, alimentation
- Facteurs locaux: éruption des dents → accroissement vertical
relation avec l’os basal
croissance cranio-faciale
fonction neuromusculaire → compensations dans les 3
sens l’espace
Morphogenèse des arcades dentaires
- Agencement des germes des dents temporaires et définitives
- Morphogenèse selon DEMOGE:
relation interarcade en denture temporaire stable (bout à bout incisif, plan de Shapman)
importance du Lee-way en constitution de la denture adolescente relation interarcade en denture adulte stable: relation de classe I
canine et molaire
DIAGNOSTIC
- DIAGNOSTIC POSITIF
- DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
- DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
- DIAGNOSTIC EVOLUTIF
I. Anamnèse
- Hérédité (Cl II 2 est génétique)
- Antécédents (à la recherche d’un éventuel ttt ODF iatrogène provoquant palatoversion incisives sup)
- Dysfonctions (déglutition, mastication, position linguale), parafonctions ( tic de succion, mordillement des lèvres, bruxisme, contraction des muscles masticateursI)I. Examen général
- Musculature fine et tonique (LANGLADE)
- Corpulence rarement forte;
- Taille moyenne ou au-dessus de la moyenne
- Examen clinique
- Examen clinique exobuccal
Visage musculaire, euryprosope, carré, de type face courte, caractérisé
par:
- de face:
- diminution de la hauteur de l’étage inf. (surtout dans la classe II 2 primitive)
- distance bigoniaque importante,
- muscles élévateurs puissants (masséters, temporaux),
- lèvres étanches avec très fort contact bilabial:
- lèvre sup. courte, mince, hypotonique avec
profond,
- lèvre inf. plus ourlée, tonique,
Selon DARQUE, la lèvre inf et la position du stomion semblen*t setsosmenitoienllepsludsanosulamdéotienrms ihnaatuiotnsditeuléa.situation et des rapports des incisives.
- de profil:
- même diminution de la hauteur de l’étage inf.
- profil sous-nasal concave, surtout si symphyse et nez marqués
- lèvre sup. bien que fine, souvent bien positionnée
dans le profil,
- lèvre inf. tonique, plus en retrait, plus ourlée et parfois éversée,
- sillon labio-mentonnier marqué,
- symphyse mentonnière plus saillante et noueuse dans la classe II 2 primitive, plus rétruse dans les classes II 2 secondaires,
- angle goniaque fermé
- lors du sourire:
- Lèvres fines et tendues, avec contractions labio- jugo-mentonnières +/- importantes, parfois gingivales laissant apparaître des plans d’occlusion
- Examen clinique
- Exameenndoinbturac–cal
- Arcaadrecamdaexillaire:
- courte, large, carrée
- voûte palatine profonde dans sa partie antérieure avec procès alvéolaires verticaux
- bord libre des deux incisives centrales situé plus bas
que le plan d’occlusion maxillaire
- Arcade mandibulaire:
- forme variable
- peu ou pas d’encombrement incisif, sauf si DDM associée
- courbe de spee +/- accentuée selon l’interposition
linguale et le type de mastication
- facettes d’abrasion parfois visibles au niveau des bords libres des incisives
- Examen inter-arcade statique
- classe II molaire
- classe II canine
- surplomb incisif normal ou diminué (en fonction sévérité)
- plan d’occlusion en ligne brisée avec marche
d’escalier en distal des canines
- médianes coïncident en général
- parfois, vestibuloclusion exagérée des prémolaires
- parfois, linguoversion des secteurs latéraux destinée à compenser la dysharmonie de forme entre l’arcade max (en U) et mdblaire (en V)
- courbe de Wilson plate ou inversée
- Supraclusion constante
→ Siège et Intensité de la supra alvéolie variables suivant:
- Forme des élévateurs et des lèvres
- Tonicité de l’orbiculaire et du dépresseur de la
lèvre
- Etalement latéral de la langue lors déglutition
- Forme des dents
- Incisives centrales et latérales avec courbe subnormale
- Incisives centrales maxillaires
- Incisives maxillaires et mdblaires
→ supraclusion totale, courbe Spee
marqu→ée Infra alvéolie postérieure en rapport avec interposition langue et
puissance des muscles élévateurs de la mandibule
- Examen inter-arcade
- Au rdeyponsa:mique
- Espace libre augmenté (5-8mm) (normal = 2mm)
- Position de repos mandibulaire mésiale, antalgique, pour limiter la compression méniscale
- En fonction:
- Guide antérieur: profond
disclusion très rapide et verticale
enveloppe des mouvements fonctionnels très limitée
- Examen inter-arcade
- Au rdeyponsa:mique
- Espace libre augmenté (5-8mm) (normal = 2mm)
- Position de repos mandibulaire mésiale, antalgique, pour limiter la compression méniscale
- En fonction:
- Guide antérieur: profond
disclusion très rapide et verticale
enveloppe des mouvements fonctionnels très limitée
- Examen inter-arcade
- Au rdeyponsa:mique
- Espace libre augmenté (5-8mm) (normal = 2mm)
- Position de repos mandibulaire mésiale, antalgique, pour limiter la compression méniscale
- En fonction:
- Guide antérieur: profond
disclusion très rapide et verticale
enveloppe des mouvements fonctionnels très limitée
- Examen inter-arcade
- Au rdeyponsa:mique
- Espace libre augmenté (5-8mm) (normal = 2mm)
- Position de repos mandibulaire mésiale, antalgique, pour limiter la compression méniscale
- En fonction:
- Guide antérieur: profond
disclusion très rapide et verticale
enveloppe des mouvements fonctionnels très limitée
- Chemin de fermeture forcé distalement en raison des contacts prématurés des incisives maxillaires palato-versées
- Examen des tissus mous
- dimension normale
- Posture haute et postérieure: Pointe linguale atone et en position basse
Base en forme de « crosse » dans la profondeur
de la voûte palatine
→ Action tonique des lèvres non
équilibrée, Linguo-version des
incisives (MULLER)
- Au repos et en fonction, étalement latéral de la langue; pas d’appui dentaire; bords latéraux linguaux dentelés
- Examen des tissus mous
- dimension normale
- Posture haute et postérieure: Pointe linguale atone et en position basse
Base en forme de « crosse » dans la profondeur
de la voûte palatine
→ Action tonique des lèvres non
équilibrée, Linguo-version des
incisives (MULLER)
- Au repos et en fonction, étalement latéral de la langue; pas d’appui dentaire; bords latéraux linguaux dentelés
Hyperfonctionnement des muscles compresseurs des arcades
Prédominance des fibres postérieures des muscles temporaux et masséter
Si supraclusion très importante, lésions parodontales de type destruction
gingivale directe
- Examen fonctionnel
- Ventilation: paraît normale
Susceptibilité à la ronchopathie et au syndrome d’apnées- hypopnées obstructives du sommeil, du fait de l’hypotension des muscles sus- hyoïdiens et vélaires, d’autant plus dans les cas de rétroposition mandibulaire
- Déglutition:
– Trouble fonctionnel++: Inocclusion,
Interposition linguale latérale,
Contraction de la lèvre inf
La syncinésie linguojugale entrave le développement
des secteurs postérieurs
– Normale (BASSIGNY, RIDLEY)
- Mastication:
- Pressions occlusales très importantes, cycles verticaux
- Mastication dysfonctionnelle avec des lèvres jointes intimement et une puissance de contraction des buccinateurs, des risorius et même des zygomatiques
- Pression des buccinateurs engendre forme d’arcade max. aplatie
antérieurement
- Arcade alvéolaire plus étroite que la base max. par contraction exagérée des
muscles des parois
- Phonation: normale,
Possibilité de chuintement si interposition linguale latérale
- Parafonctions: Contraction des masséters et de la lèvre inférieure
- Examens complémentaires
- Photographies, films, moulages
- Confirmer l’examen endobuccal
- Mesure de: la forme d’arcade;
les rapports intra- et inter-arcades; la profondeur de la courbe de Spee; l’encombrement
IV.1. Radiographies
- Panoramique, RA long cône, scanner, tomographie de Locla’AliTsaMtion des agénésies, dents incluses, anomalies radiculaires et articulaires
- Signes qualitatifs (Analyse typologique)
- Diminution inconstante de l’étage inf. de la face
- Forme mandibulaire, signes de rotation antérieure de Björk, Dibbets
- Fosses temporales profondes
- Parallélisme des plans horizontaux (base du crâne,
bispinal, mandibulaire)
- Signes quantitatifs (Analyse linéaire)
* squelettiques
– Sens sagittal:
Schémas squelettiques variés allant de la classe II à la classe III de BALLARD
Variations très importantes de ANB (de -2° à +11°) Rétrusion mdblaire (SNB ), protrusion maxillaire (SNA ) Grandes variations de la distance AO-BO
– Sens vertical:
FMA (Tweed), HFI (Ricketts) diminués Axe facial (Ricketts) ouvert
Angle Go-Gn/SN diminué
→ Brachyfacial, hypodivergent
La rotation contre-balançante condylienne ant. diminue la diagonale d’allongement mdbre
* dento-alvéolaires
- Palato-version incisive maxillaire:
convergence entre l’axe facial et l’axe incisive sup. en bas et en avant
situation en avant du rebord orbitaire externe de l’axe inc. Sup
- Linguo-version / Vestibulo-version incisive mandibulaire: IMPA diminué ou augmenté
- Augmentation de l’angle interincisif (> 140°)
- Position de l’apex de l’incisive maxillaire:
R/R intimes avec corticale externe de partie ant. max.
- Angulation possible entre la couronne et la racine de l’incisive maxillaire
- Formes cliniques
- BASSIGNY décrit trois formes cliniques:
- Forme 1: (la plus fréquente) Linguoversion des deux incisives centrales sup,
vestibuloversion apparente des incisives latérales,
supraclusion
- Forme 2: Linguoversion des 3 ou 4 incisives sup; canines ectopiques, en
position V ou incluses palatines; supraclusion
- Forme 3: Occlusion « en couvercle de boîte » (cas les plus sévères); linguoversion du groupe incisivo-canin et supraclusion des canines; courbe de Spee max. inversée; supraclusion -bi-maxillaire- très prononcée.
Cette forme peut être aggravée par: – dysharmonie de forme d’arcades max et mdb
- microdontie localisée aux PM
- linguoversion PM inf, vestibulocclusion
- DARQUE distingue deux entités cliniques:
- Classe II 2 primitive: facteur génétique prépondérant
Peck et Kajata: « schéma de petites dents dans de larges maxillaires »
Karlsen: importante croissance verticale ramale avec rotation ant et hypodivergence, quasi-normalité du sens sagittal par fort dvpt basal ant. (projection menton)
Ruf et Pancherz: fonctionnement ou dysfonctionnement des muscles faciaux
conditionnent le tableau clinique
Rotation ant. mandibulaire, menton
- Classe II 2 acquise secondaire: dysfonctionnelle
Décalage sagittal et vertical plus variable selon déséquilibre labio-linguo-jugal
au repos et en fonction
Rotation mandibulaire variable, symphyse plus pointue
* LANGLADE et PICAUD distinguent selon sévérité:
- Classe II 2 « facile »: avec typologie mandibulaire brachyfaciale
- Classe II 2 « difficile »: avec typologie mandibulaire dolichofaciale
Spécificités des classes II division 2 Spécificités diagnostiques et esthétiques Formes cliniques :
En fonction du contexte squelettique et de l’axe de l’incisive
mandibulaire, On distingue deux types de classes II division 2.
Classe II division 2 primitive
Elle est caractérisée par un décalage squelettique sagittal faible, classe I ou classe II légère, parfois même classe III dans un contexte d’hypodivergence mandibulaire avec une croissance de type rotation antérieure. L’angle interincisif est très ouvert en
raison de la birétro- alvéolie. Elle est souvent d’origine héréditaire
- Classe II division 2 secondaire ou acquise
C’est une compensation alvéolaire d’une classe II squelettique par vestibuloversion de l’incisive mandibulaire accompagnée d’une incisive maxillaire palatoversée ou normale. Le contexte squelettique vertical est plus variable.
Séméiologie des classes II division 2
Leur tableau clinique est caractéristique, surtout dans les classes II division 2 primitives, dominé par les signes d’hypodivergence mandibulaire.
- Examen clinique exobuccal :
On observe :
- de face :
- un visage plutôt carré, bien développé dans le
sens transversal, harmonieux,
- une diminution de l’étage inférieur,
- des lèvres jointes,
- une lèvre supérieure fine et courte,
-un sourire souvent gingival en raison de l’égression des incisives maxillaires et de la brièveté de la lèvre supérieure
- de profi l :
- un profil sous-nasal plus ou moins concave : le nez et le menton sont marqués. L’harmonie esthétique dépend de la position et de la forme de la symphyse, souvent projetée dans les classes II division 2 primitives,
- un sillon labiomentonnier marqué,
- un étage inférieur diminué au niveau antérieur, un bord basilaire de la mandibule faiblement incliné et un angle goniaque fermé.
Examen endobuccal :
DIAGNOSTIC
- DIAGNOSTIC POSITIF
- DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
- DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
- DIAGNOSTIC EVOLUTIF
- DDM avec macrodontie verticale
- Linguoversion iatrogène provoquée par un appareil amovible destiné à corriger une pro-alvéolie maxillaire
- Classe I birétroalvéolie
- Classe II 1 avec forte rétroalvéolie incisive maxillaire compensatrice
du décalage squelettique
- Classe III (dans l’analyse de Sassouni qui se base sur la position du menton)
- DIAGNOSTIC POSITIF
- DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
- DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
- DIAGNOSTIC EVOLUTIF
Les facteurs héréditaires
Classe II 2 décelable en denture temporaire, se confirme avec l’évolution des incisives permanentes
Caractère héréditaire:
- Schéma squelettique: croissance symphysaire, croissance ramale avec rotation antérieure et hypodivergence
- Asynchronisme d’éruption avec précocité de la croissance tubérositaire
et des
2èmes molaires sur celle des canines
– Schéma dentaire: angulation couronne-racine négative, anomalies de
nombre, forme et position
Caractère héréditaire:
– caractères physiologiques du tonus musculaire
→ hypertonicité des muscles élévateurs et des muscles faciaux
→ insertion particulière des muscles mentonniers dessinant
bouton mentonnier noueux
→ tension exagérée des muscles labio-jugaux expliquant dystopie mésiale primitive des canines max. et position des incisives permanentes
Les facteurs acquis
Déséquilibre linguo-labio-jugal au profit des muscles faciaux au repos et lors
des fonctions de déglutition et mastication
Forte tonicité labiale
Position haute et reculée de langue Etalement latéral en fonction et au repos prédominance des muscles élévateurs
- DIAGNOSTIC POSITIF
- DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
- DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
- DIAGNOSTIC EVOLUTIF
Risques associés à la classe II
Risques parodontauxd: liévsiiosnitoranum2atique
Risques dentaires: usure prématurée des dents
Risques articulaires: compression et déplacement discal
- Evolution favorable
Si parodonte suffisamment résistant, contacts inter-incisifs stables, hygiène correcte
et troubles dysfonctionnels maîtrisés
- Evolution défavorable
- Conséquences esthétiques: aspect vieillissement prématuré dû au profil concave
- Conséquences dentaires: usures
- Conséquences occlusales et articulaires: la diminution de la DVO et la musculature puissante entraînent rétro-position condylienne
→ Compression rétro-méniscale, apparition de spasmes
-Conséquences parodontales: lésions palatines rétro-incisives, dénudations radiculaires vestibulaires mandibulaires
– Amélioration prothétique souvent particulièrement difficile, sinon
Traitements précoces
- Rétablir le plus tôt possible une normalité des fonctions
- Supprimer parafonctions
Traitements orthopédiques
– phase orthopédique (activateurs, FEO) précédée par une étape orthodontique
de levée des compensations et de déverrouillage de l’occlusion
Choix thérapeutique: avec ou sans extractions (éviter les avulsions dans la
zone antérieure)
Hypercorrection et contention définitive sont de règle
Traitements chirurgicaux
Situations sévères lorsque la croissance est défavorable ou absente
Transformer par des moyens orthodontiques la classe II 2 en classe II 1 Prévoir soit: – Lefort I de recul maxillaire ou une impaction (correction sourire
gingival)
- avancement mandibulaire de type OBWERGESER
- les deux
BASSIGNY F.
Manuel d’Orthopédie dento-faciale
FRAPIER L., MASSIF L., GONZALES J., CANAL P.
Classe II division 2
EMC, Odontologie/ Orthopédie dentofaciale, 23-472-E-50, 2010
FRAPIER L, MASSIF L.,
La classe II, 2, dans tous ses états
International Orthodontics, 2007; 5: 143-162
LAUTROU A.
Revue d’ODF, vol 28 n°1, 1994
Revue d’ODF: vol 33 n°4, 1999
Revue d’ODF: vol 28 n°3, 1994
Revue d’ODF: vol 26 n°2, 1992
MERCI DE VOTRE ATTENTION
Classe II division 2
Le dentiste examine les caries et propose des soins adaptés.
L’orthodontiste conseille souvent le port d’un appareil dentaire pour les enfants.
Une infection dentaire peut nécessiter l’intervention d’un endodontiste.
Le parodontiste traite les maladies des gencives comme la parodontite.
L’hygiéniste dentaire effectue le détartrage et enseigne les bonnes techniques de brossage.
Le chirurgien-dentiste réalise des extractions et pose des implants.
Le prothésiste dentaire conçoit des prothèses sur mesure pour restaurer les dents abîmées.
Classe II division 2

Dr J Dupont, chirurgien-dentiste spécialisé en implantologie, titulaire d’un DU de l’Université de Paris, offre des soins implantaires personnalisés avec expertise et technologies modernes.