CLASSIFICATIONS DES MALADIES PARODONTALES
INTRODUCTION :
Les maladies parodontales sont des maladies multifactorielles par leurs nombreux facteurs modifiants et aggravants.
Leur diagnostic est d’autant plus difficile à cerner si nous ne nous appuyons pas sur une classification de ces maladies qui nous permette de confronter les données du patient aux données scientifiques et épidémiologiques récentes.
- HISTOIRE DES CLASIFICATIONS DES MALADIES PARODONTALES :
En 1746 que Pierre Fauchard a décrit pour la première fois les symptômes cliniques d’une parodontite. En 1885, on a proposé de nommer cette maladie [maladie de Fauchard].
Depuis, plusieurs classifications des maladies parodontales ont été établies, faisant l’objet de contestations de révisions.
La première moitié du XXème siècle : il existerait deux grands types de maladies parodontales destructrices : inflammatoires (ou « dystrophiques ») et non inflammatoires (ou « dégénératives »).
Ainsi, de 1920 à 1970, presque tous les systèmes de classification comportent des catégories intitulées « dystrophiques », « atrophiques » ou « dégénératives ».
En effet, ce n’est que dans les années 1925, que l’on voit naitre les premiers systèmes d’investigations parodontaux.
On note l’apparition de nouveaux critères comme l’âge, les facteurs héréditaires, les facteurs systémiques , les facteurs environnementaux et souvent des catégories entières consacrées aux traumatismes.
Entre 1965 et 1968, Loe et ses collègues publient des études dirigées sur la gingivite expérimentale.
Il est alors prouvé que la plupart des maladies parodontales sont initiées et entretenues par l’accumulation de bactéries portant le nom générique de plaque dentaire.
Face à ces conclusions, la parodontose (paradentosis) n’a plus sa place dans les classifications de même que l’idée de maladies parodontales dégénératives (paradentisis).
Dès 1970 : le rapport infection / réponse de l’hôte.
De 1977 à 1989, de nouvelles classifications sont rédigées et les critères suivants sont pris en compte :
- L’âge de début de la maladie .
- Sa vitesse de progression .
- Les symptômes et signes variés (douleur, ulcération, plaque, tartre) .
- La réponse au traitement.
- La particularité de certaines lésions.
En 1999, à l’occasion d’un atelier organisé à Oak Brook aux États-Unis, les membres éminents de American Academy of Periodontology (AAP) et de la Fédération européenne de parodontologie (EFP) ont élaboré ensemble la classification (types I à VIII) qui a été publiée par Armitage (1999) dans les Annals of Periodontology.
Une nouvelle classification des conditions saines et pathologiques en parodontologie et en implantologie vient d’être publiée (Caton et al. 2018). Elle a été adoptée après la réunion mondiale organisée, en 2017, à Chicago par la Fédération européenne de parodontologie (EFP) et l’Académie américaine de parodontologie (AAP).
- DEFINITION D’UNE CLASSIFICATION :
Une classification peut être considérée comme une tentative de résumer succinctement des pathologies.
Elle peut assortir le nom de la maladie d’un résumé en quelques mots de ses causes, de ses débuts, de son tableau clinique, de sa gravité, de son évolution, de son issue et autres caractéristiques de cette forme spécifique.
- OBJECTIFS D’UNE CLASSIFICATION :
L’objectif principal d’une classification est la caractérisation des maladies et leur différenciation selon leur étiologie, leur histoire naturelle, leur progression et leur réponse au traitement.
Ainsi, le clinicien peut après un examen clinique poser un diagnostic correct et proposer par la suite un traitement adéquat.
Par ailleurs, Ceci fournit aux chercheurs des critères standardisés et rend comparable les études réalisées par les différents centres de recherches.
- CRITERES DE LA CLASSIFICATION :
Pour classer les parodontopathies , de nombreux auteurs ont recours à des critères de classification :
1-4-Processus pathologique responsable :
Inflammatoire : gingivite , parodontite
Dégénératif : gingivose , parodontose Néoplasique : tumeurs ( bénignes ou malignes ) 2-4-Les lésions élémentaires dominantes :
Erythème : qui est un changement de couleur de la gencive par vasodilatation et prolifération capillaire. (Une inflammation aigue présente une couleur rouge vif , une inflammation chronique est de couleur rouge bleutée)
Œdème : augmentation du volume de la gencive < augmentation de la perméabilité capillaire , avec signe de godet (+) et une infiltration de liquide : eau , fibrinogène, albumine
Erosion : perte de substance qui touche le tissu épithélial Nécrose: mortification d’une partie de la gencive Gangrène : mortification atteignant l’os
Vésicule : soulèvement hémisphérique rempli de liquide clair dont le diamètre inférieur à 3mm
Bulle: surface plus grande que la vésicule
Hypertrophie: augmentation du volume par augmentation de la taille des cellules Hyperplasie : augmentation du volume par augmentation du nombre des cellules Ulcération : perte de substance qui atteint le tissu conjonctif
3-4-Mode évolutif :
Mode aigu: d’apparition soudain, brusque, très douloureux, courte durée
Mode chronique : d’apparition lente , non douloureux , évolue à bas bruit
Mode sub aigu : réchauffement du mode chronique mais moi sévère que le mode aigue
Récidivant : réapparition de lésion
Mode réfractaire : lésion ne réagit pas au traitement
4-4-Critères anatomiques :
Siège :
Pour les gingivites :
-gingivite papillaire.
-gingivite marginale.
-gingivite attachée.
Pour les parodontites :
-Parodontite superficielle
- Parodontite profonde
- Parodontite avancée
L’étendue :
-localisée,
-généralisée.
5–4-Critères étiologiques : triade de weski 1936 Facteurs locaux.
Facteurs généraux.
Facteurs constitutionnels.
- LES ANCIENNES CLASSIFICATIONS :
- CLASSIFICATION DE L’AAP « L’ACADEMIE AMERICAINE DE PARODONTOLOGIE » 1957 :
– A/ Gingivites
-Inflammatoire : gingivite.
-Dystrophique : gingivose.
-Néoplasique : néoplasie bénigne et maligne.
– B/ Parodontolyses
-Inflammatoire : parodontite.
-Dystrophique : trauma occlusal.
-Néoplasique : néoplasie bénigne et maligne.
-Anomalies : toutes les affections atteignant le parodonte.
- CLASSIFICATION DE GLICKMAN 1972:
les maladies ici classés selon trois critére:aspect clinique,transformations pathologiques,étiologie
- Gingivites:
- Gingivite simple :
- Gingivite marginale chronique
- Gingivite ulcéro-nécrotique aigue.
- Gingivite stomatite herpétique.
- Gingivite allergique.
- Gingivite non spécifique
*Affection fongique
- Gingivite mixte :
*Dermatose affectant la gencive.
- Gingivite dégénérative chronique de la ménopause.
- Gingivite conditionnée :
- Gingivite de la grossesse et de la puberté.
- Gingivite de la carence à la vitamine C
- Hypertrophie gingivale :
*Inflammatoire.
*hyperplasie non inflammatoire.
*Mixte.
*Conditionnée.
*Néoplasique.
*Hypertrophie de l’éruption.
- Parodontolyses
- Les parodontites :
*parodontite simple ou marginale.
*parodontite mixte.
- Parodontolyse aigue juvénile :
*Parodontolyse aigue juvénile débutante
* Parodontolyse aigue avancée.
- Traumatisme occlusale
- CLASSIFICATION DE CHARON ET SUWUKI 1993:
Basée sur des aspects cliniques ; histologiques et microbiologiques :
VI -LES NOUVELLES CLASSIFICATIONS:
- LA CLASSIFICATION DES MALADIES PARODONTALES D’ARMITAGE (1999):
Elle reste fortement basée sur le concept infection/réponse de l’hôte. Elle a pour but d’essayer de définir une forme particulière de maladie parodontale à partir d’ un certain nombre de l’éléments cliniques (inflammation , saignement, indice de plaque) et médicaux(présence ou non d’ une maladie systémique associé),d’examens
complémentaires (bilan radiologique, prélèvement bactériens) et l’ âge du patient comme facteur arbitraire et non primordial par rapport à d’ autre éléments tel que :l’ évolutivité de la maladie et / ou son agressivité.
- LES PRINCIPALES NOUVETES :
Disparition des parodontites de l’adulte et remplacement par la domination parodontites chroniques.
Remplacement de l’appellation Maladie parodontale à début précoce par parodontite agressive.
Clarification de l’expression parodontites comme manifestation d’une maladie systémique.
Remplacement de la domination Parodontite ulcèro nécrotique par maladie parodontale nécrotique.
Apparition d’une nouvelle entité : abcès parodontale.
Apparition d’une nouvelle entité : lésion endo-parodontale.
Création de la catégorie condition et difformités innées ou acquises qui regroupe des facteurs dentaires locaux, des problèmes muco gingivaux des zones dentées, et les traumatismes occlusaux.
- LES CATEGORIES DE LA CLASSIFICATION DES MALADIES PARODONTALES ARMITAGE (1999):
- Maladies gingivales (type I) : Ces pathologies concernent le parodonte
superficiel et n’entrainent pas de perte d’attache de la gencive et de destruction osseuse sous-jacente. La nouvelle classification partage ces dernières en deux sous catégories en fonction de l’étiologie due à la plaque dentaire ou non.
- Parodontite chronique CP (Type II):Nous parlons de parodontite lorsque le parodonte profond est touché. La parodontite chronique est la forme la plus répandue. Nous distinguons une forme généralisée (strictement plus de 30% des dents touchées) et une forme localisée, où moins de 30% des dents sont touchées.
- Parodontite agressive (Type III) : Cette forme est qualifiée d’agressive car la destruction osseuse est plus rapide et importante que la forme chronique et elle touche en règle générale des individus jeunes. Comme pour la forme chronique on distingue une forme localisée et une forme généralisée.
- Parodontites comme manifestations de maladies systémiques
- Maladies parodontales nécrosantes:
-Gingivite ulcéro-nécrotique
– Parodontite ulcéro-nécrotique
- Abcès:
-Abcès gingival
- Abcès parodontal
- Abcès péricoronaire.
- Lésions endo-parodontales:Ce sont des lésions parodontales qui communiquent avec une lésion péri-apicale d’origine endodontique de la même dent.
- Malformations et conditions congénitales ou acquises:
–Facteurs locaux dentaires favorisants les maladies parodontales induites par la plaque dentaire.
-Anomalies muco-gingivales des zones dentées
-Anomalies muco-gingivales des zones édentées
– Traumatisme occlusal: Primaire ou secondaire
- LIMITES DE LA CLASSIFICATION DE l’AAP DE 1999 :
Le système souffre de plusieurs lacunes importantes, notamment :
- Des chevauchements importants entre les catégories.
- Un manque de distinction basée sur la physiopathologie entre les différentes catégories.
-La classification des affections gingivales comprend certaines particularités, telles que « gingivite associée au diabète sucré » et « gingivite à carence en acide ascorbique », qui sont trompeuses (« gingivite à carence en acide ascorbique », par exemple, n’existe pas, c’est le « Scorbut » ou ulcération gingivale causée par une carence en ascorbate).
- Les avancées scientifiques majeures : amélioration de la compréhension de la progression de la maladie et des facteurs de risque associes (tabac et diabète comme facteurs de risque majeurs) et la nécessite d’introduire la notion de sante parodontale et d’inclure les pathologies péri-implantaires.
- CLASSIFICATION DES MALADIES ET AFFECTIONS
PARODONTALES ET PERI-IMPLANTAIRE consensus des groupes de travail du séminaire international EFP/AAP CHICAGO 2017
- LES DIFFERENCES LES PLUS IMPORTANTES DE CETTE NOUVELLE CLASIFICATION :
Modifications majeures (comparé à Armitage) :
- Gingivites
- Définition de l’état de santé parodontal
- Santé parodontale possible même sur parodonte réduit (parodontite traitée)
- Parodontites
- Un seul diagnostic de parodontite
- Double caractérisation de la parodontite
- Stade à 4 niveaux
- Grade à 3 niveaux
- Classification des lésions endo-parodontales
- Classification des abcès
- Association systémiques
- Effet majeur sur l’évolution des parodontites: certaines maladies rares
- Effet variable sur l’évolution des parodontites : maladies fréquentes (ex : diabète), et celles atteignant le parodonte indépendamment de la présence du biofilm (cancers)
- Diabète et consommation de tabac doivent être considérés comme des descripteurs
4-L’inclusion d’une classification des maladies péri-implantaires.
- LES CATEGORIES DE LA CLASSIFICATIONS DES MALADIES ET AFFECTIONS PARODONTALES ET PERI IMPLANTAIRES:
-Quatre grandes catégories sont à retenir:
- Le parodonte sain et les maladies gingivales;
- Les parodontites;
- Les autres atteintes parodontales;
- Les conditions péri-implantaires saines et pathologiques.
- SANTE PARODONTALE ET MALADIES GINGIVALE
La santé parodontale se définit par l’absence d’inflammation cliniquement détectable.
Trois états possibles
- Santé gingivale
- Gingivites induites par la plaque
- Maladies gingivales non induites par la plaque
La santé parodontale peut exister sur un parodonte intact ou réduit :
-Un parodonte intact est un parodonte sans perte d’attache clinique
-Le parodonte réduit :
- Un patient sans antécédent de maladies parodontales (récession
gingivale ou après une intervention chirurgicale d’allongement coronaire)
- soit chez un patient ayant des antécédents de parodontite.
Classification du parodonte sain et des affections gingivales
1. Santé parodontale et gingivale | 2. Gingivite induite par le biofilm dentaire | 3. Maladies gingivalesnon induites par le biofilm dentaire |
Gencive saine avec parodonte intactGencive saine sur parodonte reditAvec antécédent de maladie parodontale traiteSans antécédent de maladie parodontale. | Seulement associée au biofilmModifiée par des facteurs de risque locaux ou systémique c-Accroissement gingivale médicamenteux | Troubles génétiques / développementauxInfection spécifiques c-Maladies inflammatoires et immunitairesd-Processus réactionnels e-Les néoplasmesMaladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliquesLésions traumatiquesPigmentations gingivales |
* Facteurs prédisposant (facteurs de risque locaux)1. Facteurs de rétention de la plaque dentaire 2-Secheresse orale (p. ex. couronnes, appareils orthodontiques) ; |
* Facteurs modifiants (facteurs de risque systémiques)Tabagisme ;Hyperglycémie (chez des patients souffrants de diabète) ;Faible teneur en micronutriments anti-oxydant (p. ex. vitamine C) ;Prise de médicaments, en particulier les immuno-modulateurs ;Niveaux élevés d’hormones stéroïdiennes ;Troubles hématologiques (p. ex. neutropénie). |
- PARODONTITES :
Sur la base de la physiopathologie, trois formes de parodontite clairement différentes ont été identifiées :
- Parodontite ;
- Parodontite nécrosante ;
- Parodontite comme manifestation directe de maladies systémiques.
- LES PARODONTITES :
Un système multidimensionnel de stades et de grades a été conçu pour décrire plus en détail les différentes manifestations de la parodontite dans des cas individuels.
Les stades décrivent la sévérité et la complexité de la maladie tandis que les grades donnent des informations supplémentaires sur les aspects biologiques, la progression passée et future, le pronostic du traitement et le risque que la maladie ou son traitement affecte la santé du patient.
LES STADES
Stade 1 les parodontites débutantes Stade 2 : les parodontites modérées
Stade 3 : les parodontites sévères avec un risque de perdre d’autres dents
Stade 4 : pour les parodontites sévères avec un risque de perdre toutes les dents
LES GRADES
Grade A : pour les parodontites à progression lente Grade B : pour les parodontites à progression modérée Grade C : pour les parodontites à progression rapide
- LES MALADIES PARODONTALES NECROTIQUES
- Les lésions de gingivite nécrotique
- Les maladies parodontales nécrotiques
- La parodontite nécrotique
- La stomatite nécrotique
- PARODONTITE COMME MANIFESTATION DIRECTE DES MALADIES SYSTEMEIQUES
Parodontites étant des manifestations d’une maladie systémique |
Troubles systémiques ayant un impact majeur sur la perte de tissus parodontaux en agissant sur l’inflammationparodontale : |
Les troubles génétiquesMaladies associées à des troubles immunologiques (p. ex. syndrome de Papillon-Lefèvre)Maladies touchant la muqueuse buccale et le tissu gingival (p. ex., l’épidermolyse bulleuse)Maladies aff ectant les tissus conjonctifs (p. ex. les syndromes d’Ehlers-Danlos)Troubles métaboliques et endocriniens (p. ex. l’ hypophosphatasie)Maladies d’immunodéficience acquise (p. ex. l’infection par le VIH)Maladies inflammatoires (p. ex. maladie intestinale inflammatoire) |
Autres troubles systémiques qui infl uencent la pathogenèse des maladies parodontales : |
Diabète sucréObésitéTabagisme (dépendance à la nicotine) |
Maladies ou aff ections systémiques aff ectant les tissus de soutien parodontaux |
Troubles systémiques pouvant entraîner une perte de tissus parodontaux indépendamment des maladies parodontales : |
Tumeurs (par exemple, carcinome épidermoïde oral)Autres troubles pouvant aff ecter les tissus parodontaux (par exemple, l’histiocytose à cellules de Langerhans) |
- LES AUTRES ATTEINTES PARODONTALES ;
- L’ABCES PAARODONTAL
Classification des abcès parodontaux basée sur les facteurs étiologiques.
- LA LESION ENDO –PARODONTALE
repose sur les signes pouvant avoir un impact sur le traitement comme la présence de fracture, de perforation, de parodontite et d’extension de la destruction parodontale autour de la dent atteinte.
- CLASSIFICATION DES RECESSIONS GINGIVALES (cairo)
Type1(RT1) : pas de perte d’attache inter proximale.
JAC non cliniquement décelable (ni en mésiale ni en distal de la dent) Type2(RT2) : perte d’attache inter proximale*≤ perte d’attache vestibulaire Type3(RT3) : perte d’attache inter proximale*> perte d’attache vestibulaire
- AUTRES CLASSIFICATIONS
-Classification des forces occlusales traumatiques sur le parodonte
-Classification des facteurs modifiants ou prédisposant pouvant affecter le parodonte lié aux dents et aux prothèses
- Facteurs dentaires
- Facteurs prothétiques
- LES MALADIES ET ÉTATS PÉRI-IMPLANTAIRES
-Santé péri-implantaire (peut exister autour d’un volume osseux réduit).
-Mucosite péri-implantaire.
-Péri-implantite.
CONCLUSION
Il est important pour les praticiens de se familiariser avec la nouvelle classification des maladies parodontales publiée en 2018.
Elle succède a la nomenclature de 1999 et prend en compte la progression des données de la science et les avancées réalisées, depuis, dans la compréhension de l’évolution des maladies parodontales fondée sur un modèle de stades et de grades, elle servira désormais de base de référence pour l’établissement des diagnostics.
CLASSIFICATIONS DES MALADIES PARODONTALES
Une occlusion équilibrée est cruciale pour la fonction masticatoire et la santé articulaire.
Le contrôle de la plaque dentaire reste la meilleure prévention contre les gingivites.
L’empreinte numérique transforme les workflows en prothèse et orthodontie.
Un bon éclairage opératoire améliore la précision des préparations cavitaires.
L’occlusion influence la mastication et l’équilibre de l’articulation temporo-mandibulaire.
L’analyse du sourire guide les traitements esthétiques antérieurs.
La gestion du stress pré-opératoire fait partie intégrante de la prise en charge.
CLASSIFICATIONS DES MALADIES PARODONTALES

Dr J Dupont, chirurgien-dentiste spécialisé en implantologie, titulaire d’un DU de l’Université de Paris, offre des soins implantaires personnalisés avec expertise et technologies modernes.