L’Esthétique et Harmonie du Visage – ORTHOPÉDIE-DENTO-FACIALE

L’Esthétique et Harmonie du Visage – ORTHOPÉDIE-DENTO-FACIALE

L’Esthétique et Harmonie du Visage – ORTHOPÉDIE-DENTO-FACIALE

Introduction

Avec le vrai et le bien, le beau constitue l’un des concepts fondamentaux de la réflexion humaine. À côté de la logique, qui établit les règles du discours, et de l’éthique, qui régit nos comportements envers autrui, l’esthétique forme une sphère ambiguë où la communication s’exprime à travers des codes subtils, davantage influencés par la subjectivité. La beauté a toujours été valorisée par les sociétés, témoignant des époques, des cultures et des contextes sociaux. L’évaluation de l’idéal esthétique varie considérablement selon les races, les milieux socioculturels et les périodes historiques. Dans une société de consommation, être beau est une préoccupation dominante, et l’orthodontiste ne peut ignorer ce désir majeur de ses patients.

Les Bases Historiques

L’Idéal du Beau

Le Beau chez les Philosophes

Pour Platon, le beau sensible n’est qu’un reflet du beau intelligible. Le beau en soi et le bien en soi, étant également désirables, convergent dans l’idéal d’être « beau et bon ». L’art pousse à contempler le beau sensible, tandis que la philosophie permet d’accéder au beau intelligible, associé à la divinité. Aristote rejette l’existence d’un beau en soi, définissant le beau comme une harmonie entre les différentes parties d’un corps. Pour lui, l’art doit imiter la nature pour produire un beau tangible. Kant, quant à lui, propose une critique du jugement esthétique, qui ne repose ni sur un concept ni sur le plaisir, mais sur une satisfaction nécessaire, située entre le goût subjectif et un beau objectif.

Le Beau chez les Grecs

Le canon grec, incarné par la statue du Doryphore de Polyclète, est décrit par Pline comme une œuvre où « toutes les parties sont en proportions parfaites ». Dans ce canon, la tête représente 1/7,5 de la hauteur du corps. Ce modèle intègre le nombre d’or :

[ \frac{G}{P} = \frac{1 + \sqrt{5}}{2} \approx 1,618 ]

où ( G ) est la plus grande dimension et ( P ) la plus petite. La tête s’inscrit dans un carré divisé en quatre étages : les cheveux, le front, le nez et la région sous-nasale (buccale). Cent cinquante ans plus tard, Lysippe modifie ce canon en allongeant les proportions, la tête représentant alors 1/8 du corps, rendant les formes plus élancées.

Le Beau chez les Romains

Les statues romaines, bien que fortement influencées par les Grecs, adoptent une représentation plus réaliste. Le canon de Vitruve, quasi universel, est popularisé à la Renaissance, notamment par Léonard de Vinci. Dans ce canon, la tête représente 1/8 du corps, et la face 1/10, avec un étage capillaire réduit pour correspondre aux normes modernes.

Le Canon de la Renaissance

Au Quattrocento, l’Europe redécouvre les arts et lettres de l’Antiquité. En 1509, Fra Piccioli Di Borgo, ami de Léonard de Vinci, publie un traité sur l’esthétique des proportions, s’appuyant également sur le nombre d’or. Léonard de Vinci définit l’harmonie du visage dans ses carnets :

  • Du menton à la naissance des cheveux : 1/10 du corps.
  • Du menton au sommet de la tête : 1/8 du corps.
  • Du menton aux narines : 1/3 de la face.
  • Des narines au front et du front à la naissance des cheveux : également 1/3 de la face.

Ce canon, repris à l’époque néoclassique (1750-1900), inspire les théoriciens de l’orthodontie. Cependant, Léonard de Vinci souligne la variabilité naturelle :

« Si la nature avait un canon fixe pour les proportions des diverses parties, les traits de tous les hommes se ressembleraient tellement qu’il serait impossible de les distinguer entre eux ; mais elle a diversifié les cinq parties du visage, en sorte que tout en ayant établi un canon presque universel quant à leur dimension, elle ne l’a pas observé dans chaque cas particulier avec assez de rigueur qu’on ne puisse aisément différencier l’un de l’autre. »

La beauté est donc subjective, dépendant du « modèle culturel » propre à chaque société et époque, comme le note Bonnefont.

Critères Anthropologiques

Classification Anthropobiologique

L’analyse typologique du visage peut être abordée par une observation clinique sans mensuration, reposant sur l’impression et le sens de l’observation. Bien que subjective, cette approche s’affine avec l’expérience. Tous les éléments du visage, du vertex au menton, sont décrits :

  • Le front : dominant, convexe ou fuyant.
  • Les yeux : position par rapport à l’axe sagittal médian (ligne bipupillaire).
  • Le nez : forme, volume, symétrie des ailes narinaires.
  • Les lèvres : épaisses, éversées, présence ou absence du stomion.
  • Le menton : forme et position.
  • Les tissus mous : cernes, rougeurs.

Dès la première consultation, le praticien peut identifier un type prédominant grâce à cette analyse.

Classification Anthropométrique

Cette classification compare la forme du visage à celle du crâne et du corps, en s’appuyant sur des indices mesurables :

  • Indice céphalique de Retzius : Rapport entre la largeur (EUEU) et la longueur (Gla-Opc) de la tête × 100.
    • < 76 % : dolichocéphale.
    • 76 % à 81 % : mésocéphale.
    • 81 % : brachycéphale.
  • Indice facial de Kollmann : Rapport entre la hauteur (N-Gn) et la largeur bizygomatique × 100, en position de repos mandibulaire.
    • < 84 % : euryprosope.
    • 84 % à 88 % : mésoprosope.
    • 88 % : leptoprosope.

D’autres mesures régionales incluent :

  • Région nasale : Angle du profil nasal (25° à 40°), indice nasal (largeur Al-Al / hauteur N-Sn).
  • Région oculaire : Indice orbitaire, distances intercanthales, obliquité de la fente palpébrale.
  • Région buccale : Hauteur de l’étage buccal, largeur des lèvres, indice buccal (épaisseur des lèvres).
  • Indice arcade-face d’Izard : Forme des arcades.
  • Indice zygomato-mandibulaire : Largeur des maxillaires.

Classification Physiologique

Basée sur l’analyse des formes et traits du visage, la classification de Sigaud (1910) distingue quatre types morphologiques selon la prédominance des surfaces de contact avec l’extérieur (respiratoire, digestive, musculo-cutanée, cérébrale) :

  • Musculaire : Étages faciaux égaux, musculature développée, visage carré ou rectangulaire, lèvres minces.
  • Cérébral : Étage supérieur dominant.
  • Respiratoire : Étage moyen dominant, tronc trapézoïdal, visage losangique.
  • Digestif : Étage inférieur dominant, front étroit, accent sur l’abdomen et la mandibule.

Viola (éc遵义市) propose une classification similaire, distinguant brachytype, longitype et normotypes, basée sur des mensurations comparées à des normes.

Typologie de SIGAUD : le musculaire, le respiratoire, le Digestif et le Cérébral respectivement.

Critères Raciaux

Selon Vallois, les critères physiques pour identifier une race incluent la stature, la forme du crâne (dolichocéphalie, brachycéphalie, mésocéphalie) et la forme du visage (prognathisme, orthognathisme, eurygnathisme). Les différences esthétiques varient entre ethnies, avec une tendance à la0074市) la dolichocéphalie pour la race noire et la brachycéphalie pour la race jaune. Richardson note que les paramètres près des zones alvéolo-dentaires présentent les plus grandes différences raciales.

Esthétique du Sourire

Beauté du Sourire

Le sourire est un élément esthétique majeur, combinant trois facteurs de beauté : les courbes et contre-courbes des lèvres, le contraste entre le rouge des lèvres et le blanc des dents, et l’expression de joie qu’il véhicule. Un sourire harmonieux encadre la denture, découvrant les incisives supérieures jusqu’au liseré gingival et le bord libre des incisives inférieures. Un sourire mal positionné peut révéler trop de gencive maxillaire.

Types de Sourire

  • Sourire labial : Les dents sont peu ou pas visibles.
  • Sourire dentaire : Montre les dents supérieures, inférieures, ou les deux.
  • Sourire gingival : La lèvre supérieure découvre une partie de la fibromuqueuse gingivale. Ces types de sourire peuvent s’intégrer harmonieusement dans différents schémas faciaux.

Évaluation Clinique du Sourire

Lèvres au Repos
  • De face : Forme, volume, couleur, symétrie (verticale et horizontale), hauteur de la lèvre supérieure, parallélisme de la ligne bicommissurale avec d’autres lignes, contractures péri-labiales, présence du stomion, rapports dento-labiaux (incisive supérieure dépasse la lèvre supérieure de 2 mm, lèvre inférieure en contact avec l’incisive supérieure).
  • De profil : Degré de protrusion, éversion, angle naso-labial, sillon labio-mentonnier.
Lèvres en Fonction

Lors des fonctions (ventilation, mastication, déglutition, phonation, mimique), les lèvres s’animent différemment selon les individus. L’observation idéale du sourire se fait à l’insu du patient. Normalement, le bord de la lèvre supérieure découvre les dents supérieures jusqu’au collet.

Harmonie Dentaire

L’harmonie dentaire repose sur :

  • Alignement des faces vestibulaires.
  • Modelé des bords incisifs : Courbure progressive des incisives centrales (quasi nulle) jusqu’aux prémolaires.
  • Niveau des bords gingivaux.

Les dents doivent être claires pour accentuer le contraste avec les lèvres et la peau, et refléter une denture saine.

Anomalies Dentaires

Les anomalies affectant l’esthétique incluent :

  • Anomalies de nombre.
  • Anomalies de forme.
  • Anomalies de position.
  • Anomalies de structure.
  • Dyschromies.
  • Désordres dento-dentaires (DDD).

Rôle Esthétique de l’Orthodontie

Canon Utilisé par les Orthodontistes

Les critères esthétiques en orthopédie dento-faciale (ODF) définissent une normalité chez l’adulte, s’appuyant sur des analyses anthropométriques et des typologies adaptées.

Esthétique en Fonction de l’Âge

La forme du visage évolue considérablement avec la croissance :

  • Première enfance : Proportions fœtales, tête dominante.
  • Deuxième enfance (2-6 ans) : Face légèrement plus haute, large et ronde.
  • 6-12 ans : Perte de l’aspect poupon, allongement des étages moyen (respiratoire) et inférieur (digestif) dû à la croissance du nez et des mâchoires.
  • 13-18 ans : Croissance nasale en bas et en avant, vecteur vertical dominant. Une bosse nasale peut apparaître, modifiant la forme du nez (nez convexe dominant).

Chaconas établit une similitude entre la typologie nasale et le profil cutané :

  • Classe II d’Angle : Arête nasale suivant la convexité faciale.
  • Classe I : Nez droit.
  • Classe III : Profil nasal concave.

Il note une harmonie entre :

  • Longueur du nez et de la mandibule.
  • Hauteur du nez et hauteur faciale.

La croissance des tissus mous est rapide et variable jusqu’à 3 ans, puis uniforme jusqu’à la pré-puberté, avec des variations importantes à l’âge adulte. L’enveloppe cutanée se modifie différemment selon les zones :

  • Front : Épaisseur constante.
  • Menton : Épaississement faible.
  • Région sous-nasale : Modifications importantes.

La lèvre supérieure gagne 6,5 mm en longueur et épaisseur de 1 à 18 ans (Subtelny). Elle couvre 70 % de la surface vestibulaire des incisives supérieures, le bord incisif ne dépassant pas 3 mm du bord labial supérieur. La lèvre inférieure gagne 8 mm en hauteur (4 mm jusqu’à 6 ans, stabilisation à 15 ans), avec un vermillon épaissi de 6-7 mm. Les rapports lèvre-dents se stabilisent à 9 ans, la lèvre inférieure couvrant 30 % de la surface restante de l’incisive supérieure.

Schéma de croissance nasale. (A) La longueur nasale augmente en moyenne de 26.1 mm pour les filles, 27 mm pour les garçons entre la naissance et l’âge adulte. Entre 9 et 15 ans, la pointe nasale augmente en avant du plan facial de 1 mm par an. (B) La croissance nasale en bas et en avant avec un vecteur vertical plus important que le vecteur horizontal (7)
Esthétique du Profil

Le profil est un aspect clé du complexe facial, selon Hédin, car de nombreuses déformations dento-faciales se manifestent dans le sens antéro-postérieur sans impact frontal. Ricketts (1957) réintroduit l’analyse du profil cutané, suivie par Steiner, Burstone, Holdaway et Merrifield. Les lignes esthétiques incluent :

  • Ricketts : Ligne Pog (cutané) – pronasal (pointe du nez). Lèvre supérieure en retrait de 1 mm, lèvre inférieure effleure la ligne.
  • Steiner : Ligne Pog – milieu de la base du nez. Les lèvres effleurent la ligne.
  • Burstone : Ligne Pog – Sn. Lèvre supérieure en avant de 3,5 mm, lèvre inférieure en retrait de 2,2 mm.
Typologie facial d’Izard

Izard évalue le profil sous-nasal via le plan de Francfort cutané et les plans de Simon (fronto-orbitaire) et Izard (fronto-glabellaire), définissant trois types :

  • Ortho frontal : Profil sous-nasal entre les deux plans.
  • Trans frontal : Menton et lèvre supérieure projetés vers l’avant, jouxtant le plan fronto-glabellaire.
  • Cis frontal : Menton sur ou en arrière du plan fronto-orbitaire.

La hauteur des étages nasion-subnasion (43-45 %) et subnasion-menton (55-57 %) est mesurée. La columelle forme un angle de 90° à 100° avec le plan de la lèvre inférieure (Couly). Ces analyses codifient la position des tissus mous, notamment des lèvres, par rapport à une ligne esthétique ou un arc reliant la pointe du nez et le menton.

Esthétique de Face

Le visage doit être symétrique par rapport au plan sagittal médian (passant par le milieu du front, la racine du nez, la base du nez, le philtrum, la bouche et le menton), rectiligne. Les lignes ophryaques, bipupillaires, bicommissurales, bitragiales et bigoniaques doivent être parallèles et perpendiculaires au plan sagittal. Les étages moyen (ligne ophryaque-point sous-nasal) et inférieur (point sous-nasal-menton) doivent être égaux. De légères variations sont tolérées sans compromettre l’harmonie, tant pour la symétrie des hémifaces que pour l’égalité des étages (Hédin).

La racine du nez, située à la jonction des orbites sous la glabelle, a une distance de la base alaire au point sous-nasal équivalant au tiers de la distance point sous-nasal-pointe du nez (Epker et Fish). Les yeux contribuent à la beauté par leur taille, forme et couleur, avec une distance intercanthale externe de 100 mm et interne de 30-35 mm. La largeur maximale de la tête équivaut à cinq fois la largeur d’un œil.

Plans de symétrie

La bouche, selon Olivier, doit être en harmonie avec la forme du visage, sa largeur correspondant à celle de la face. Pour Léonard de Vinci, la largeur de la bouche égale la distance fente buccale-menton. Ricketts classe les bouches en cinq catégories, des plus étroites (distance internarinaire) aux plus larges (distance interpupillaire). Les proportions idéales placent les commissures à mi-chemin entre les ailes nasales et les plans bipupillaires. Le dessin de la lèvre supérieure suit le mouvement général des arcades (Theuveny).

Classification buccale de Ricketts. 5 classes des bouches sont identifiées, les plus étroites étant pratiquement identiques à la distance internarinaire et le plus larges à la distance interpupillaire (1-7)

Camper souligne que la perception du beau dépend d’une convenance culturelle, fondée sur des images préétablies. Les codifications esthétiques se basent majoritairement sur des populations féminines et adultes, mais le visage évolue de la naissance à l’âge adulte, nécessitant une prise en compte des variations liées au sexe et à la croissance.

Esthétique en Fonction du Sexe

De face, le visage féminin est relativement plus large, avec un nez plus fin et une bouche moins large. De profil, les irrégularités et courbes accentuées sont mieux tolérées chez l’homme, notamment au niveau du nez (plus long) et du menton (plus proéminent) (Lines). L’harmonie du visage prime sur les mensurations céphalométriques, chaque patient devant être évalué individuellement selon sa personnalité, son âge, son sexe et sa race.

Demandes Esthétiques en Pratique Orthodontique

Rôle Plastique de l’Orthodontie

L’orthodontie vise à améliorer l’esthétique et l’harmonie du visage et de la denture, assurer une occlusion fonctionnelle, et contribuer à la stabilité et la longévité du système dentaire. Si la beauté varie selon les individus, groupes sociaux et ethnies, l’aspect fonctionnel est plus normalisé, rigoureux et reproductible. Pour répondre aux attentes esthétiques, l’orthodontiste doit comprendre la souffrance des patients, analyser les proportions faciales (de face et de profil), évaluer l’équilibre des saillies et dépressions, le jeu du sourire, ainsi que la forme et la couleur des incisives et canines. Il doit également anticiper l’expression future du visage et proposer un traitement adapté.

Maturation de la Demande

La consultation résulte souvent d’une réflexion personnelle prolongée, marquant un travail de deuil d’une image corporelle insupportable et une maturation du désir de changement. Les patients, sans douleur physique directe, souffrent moralement et recherchent un confort fonctionnel et esthétique, visant un mieux-être et évitant un mal-être. L’attitude face à la santé bucco-dentaire dépend de la valeur esthétique accordée à la bouche et aux dents, éléments clés de l’expression sociale (Reich et Coll). Une étude sur 750 patients en chirurgie plastique révèle :

  • 60 % souhaitent réduire un complexe.
  • 30 % recherchent une meilleure intégration socio-professionnelle.
  • 10 % veulent plaire en changeant d’apparence.
Attitude de l’Orthodontiste face à une Demande Esthétique

Tagliacozzi affirmait : « Nous refaisons et réparons des parties de la face que la nature a données, mais que le destin a détruites, non pas tant pour le plaisir des yeux que pour remonter le moral et aider les affligés. » Avec les progrès techniques, la perfection occlusale est atteignable, mais l’esthétique pose souvent des défis, menant à des compromis entre fonctionnalité et apparence. Julien Philippe (cité par Pajoni) s’interroge :

« Si être orthodontiste, c’est permettre à notre patient de mener une vie plus heureuse, en agissant là où nous avons compétence pour le faire, le compromis s’imposera souvent. Mais alors, où limitera-t-on les négligences et les « à peu près » sous prétexte que le patient est content comme cela ? »

Une analyse rigoureuse du problème esthétique, combinée à une réflexion sur les motivations du praticien, permet d’aborder la demande de manière rationnelle, définissant les limites du traitement, détectant les attentes inadaptées et établissant un contrat thérapeutique clair.

Conclusion

L’esthétique, influencée par des normes sociales, culturelles, raciales et anthropométriques, est une aide précieuse en orthodontie. Cependant, chaque patient est unique, et le traitement doit être adapté à ses particularités, évitant une universalisation à des cas stéréotypés. L’orthodontiste doit équilibrer les impératifs esthétiques et fonctionnels, en tenant compte de la croissance, du sexe, de la race et de la personnalité, pour améliorer l’harmonie du visage et le bien-être du patient.

L’Esthétique et Harmonie du Visage – ORTHOPÉDIE-DENTO-FACIALE

  La santé bucco-dentaire est essentielle pour le bien-être général, nécessitant une formation rigoureuse et continue des dentistes. Les étudiants en médecine dentaire doivent maîtriser l’anatomie dentaire et les techniques de diagnostic pour exceller. Les praticiens doivent adopter les nouvelles technologies, comme la radiographie numérique, pour améliorer la précision des soins. La prévention, via l’éducation à l’hygiène buccale, reste la pierre angulaire de la pratique dentaire moderne. Les étudiants doivent se familiariser avec la gestion des urgences dentaires, comme les abcès ou les fractures dentaires. La collaboration interdisciplinaire avec d’autres professionnels de santé optimise la prise en charge des patients complexes. La santé bucco-dentaire est essentielle pour le bien-être général, nécessitant une formation rigoureuse et continue des dentistes.  

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