Alimentation, nutrition et santé dentaire Analyses alimentaires et recommandations diététiques

Alimentation, nutrition et santé dentaire Analyses alimentaires et recommandations diététiques

Alimentation, nutrition et santé dentaire Analyses alimentaires et recommandations diététiques

Introduction

La bouche est un indicateur sensible de l’état nutritionnel, ceci en raison des tissus à la fois durs et mous qui la composent avec leurs besoins nutritionnels spécifiques. Une alimentation saine et équilibrée fournit tous les éléments nutritifs nécessaires à la santé générale, y compris la santé bucco-dentaire. Sans les bons éléments nutritifs, les dents et les gencives sont plus sujettes à la carie et à l’infection.

Définitions

  • Alimentation : Introduction d’aliments dans l’organisme. C’est également la manière dont les aliments sont introduits.
  • Aliments : Substances ingérées, nécessaires au développement, au fonctionnement, à la constitution des réserves et à la réparation de l’organisme humain.
  • Nutrition : Introduction dans l’organisme et utilisation par celui-ci de matériaux nécessaires à la vie.
  • Santé dentaire : Se caractérise par l’absence de douleurs buccales ou faciales, de cancer buccal ou pharyngé, d’infection ou de lésion buccale, de parodontopathies, de déchaussement et perte de dents, et d’autres maladies et troubles qui limitent la capacité de mordre, mâcher, sourire et parler d’une personne, et donc son bien-être psychosocial.

Les Différents Nutriments

Les besoins alimentaires comprennent un aspect quantitatif de besoins énergétiques et un aspect qualitatif, correspondant à la variété et à l’équilibre de la ration alimentaire. On peut définir :

  • Protides
  • Glucides
  • Lipides
  • Eau
  • Cellulose
  • Micronutriments

Les Micronutriments

Les micronutriments sont des éléments essentiels pour l’organisme en petites quantités. Ils sont représentés par les vitamines, les oligoéléments minéraux, et les phytonutriments. Ils interviennent dans la production d’enzymes, d’hormones et d’autres substances, ils régulent le métabolisme, la croissance et le fonctionnement de divers organes. Ils sont riches en antioxydants, ce qui leur confère un rôle essentiel dans la protection contre les cancers et les pathologies chroniques.

Les Besoins Alimentaires de l’Organisme

Besoins Énergétiques

Un apport énergétique régulier est nécessaire à un développement harmonieux et au maintien des fonctions physiologiques.

Besoins Protéiques

La quantité des protéines est optimale (95%) pour les œufs et le lait, puis viennent, par ordre décroissant, les protéines animales, les légumes, les céréales. Les besoins protéiques augmentent dans les conditions de croissance, de grossesse, allaitement, convalescence, fièvre ou traumatisme.

Besoins Glucidiques

Les glucides sont des aliments énergétiques. Ils sont apportés sous deux formes dans l’alimentation : sucres simples et sucres complexes.

Les Fibres Alimentaires

Comme la cellulose, les fibres sont des glucides non absorbables et non digérés qui ne sont pas essentiels à l’organisme mais ont un rôle régulateur nécessaire au transit intestinal. Leur absence dans l’alimentation s’accompagne d’une fréquence plus élevée de certaines tumeurs malignes. Les fibres stimulent la production de salive qui permet d’évacuer les acides et les enzymes qui attaquent les dents.

Sources : Banane, pomme, dattes, fruits secs (raisin, figues).

Besoins Lipidiques

Les lipides sont des aliments énergétiques, mais sont aussi la source d’acides gras essentiels. Ils participent à la structure des membranes cellulaires et au métabolisme.

Besoins en Eau

L’eau est indispensable dans l’alimentation. Le besoin total d’eau est de 2 à 2,5 L/j chez l’adulte. Une part de cette eau est présente dans les aliments eux-mêmes (fruits et légumes crus 80%), le reste doit être apporté par l’ingestion de liquides. Cet apport doit être augmenté en été pour lutter contre la chaleur, car les pertes par sudation sont augmentées.

Besoins en Micronutriments

Ces besoins sont couverts par une alimentation variée et équilibrée.

Les Vitamines

Les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme que l’homme ne peut pas synthétiser, elles doivent donc être apportées par l’alimentation. En fonction de leur solubilité dans l’eau, on distingue les vitamines hydrosolubles et les vitamines liposolubles.

Vitamines Hydrosolubles
  • Vitamines du groupe B : Les carences en vitamines B provoquent des altérations de l’immunité humorale et cellulaire. Cliniquement, le déficit se traduit par des glossites, stomatites et chéilites angulaires. Sources : Lait, viande, volailles.
    • Vitamine B1 (thiamine) : Sa carence conduit au béribéri, caractérisé par polynévrites, insuffisance cardiaque, troubles digestifs et mentaux.
    • Vitamine B2 (riboflavine) : Sa carence se traduit par des perlèches, chéilite, glossite.
    • Vitamine B3 (vitamine PP ou niacine) : Les manifestations stomatologiques sont une stomatite érythémateuse et ulcéreuse avec aphte plus grisâtre et plus étendu que l’aphte ordinaire.
  • Vitamine C (acide ascorbique) : Son rôle physiologique exact est mal connu. Elle participe à la synthèse du collagène, au métabolisme du fer, des hormones surrénaliennes, des cellules impliquées dans les réactions immunitaires, etc. Elle joue un rôle important dans les mécanismes d’ossification (fixation du calcium) et de formation des dents, elle possède un effet hémostatique en augmentant la résistance capillaire, elle exerce enfin une action trophique sur le tissu conjonctif et favorise la résistance aux infections. Sources : Orange, kiwi, cantaloup, légumes verts (brocolis).
Vitamines Liposolubles
  • Vitamine A (rétinol) : Elle est essentielle au maintien de l’intégrité des épithéliums, en favorisant la synthèse des mucopolysaccharides et la sécrétion de mucus. Elle favorise la cicatrisation. Sources : Se trouve sous forme de bêta-carotène (provitamine A) dans les produits végétaux de couleur orange (carotte, melon, abricot) et sous forme de vitamine A dans les produits animaux (fromage, beurre, œufs).
  • Vitamine D : Joue un rôle dans le métabolisme phosphocalcique et la minéralisation osseuse. Participe à la formation et la santé des dents et des os. Une carence en vitamine D est susceptible d’entraîner des complications lors de la chirurgie implantaire. Sources : Produite par synthèse endogène (exposition solaire) ou apportée de source exogène : lait, œufs, champignons, poisson gras (saumon, thon).
  • Vitamine E (tocophérol) : Elle assure la protection des membranes et donc des muqueuses de la cavité buccale. Sources : Huiles végétales, céréales, poissons gras, légumes.
  • Vitamine K (quinones) : Elle est indispensable à la synthèse par le foie de divers facteurs entrant dans la coagulation sanguine, et en particulier la prothrombine. Sources : Légumes verts, foie, elle est aussi synthétisée par les bactéries intestinales.

Les Oligoéléments Minéraux

  • Calcium : Intervient dans la minéralisation. Constituant essentiel des os et des dents. Sources : Lait, yaourt, sardines, grains de sésame.
  • Zinc : Le zinc est un cofacteur indispensable d’un grand nombre d’enzymes comme l’ADN et l’ARN polymérase. Il joue un rôle dans la cicatrisation, la prévention des récidives d’aphtes (étude chinoise prouvant que le maintien d’un taux de zinc sérique normal prévient les récidives), il peut aussi réduire les mycoses orales. Sources : Viandes, œufs, produits laitiers.
  • Cuivre : Le cuivre favorise l’élaboration des anticorps, renforce la résistance à l’infection, aux toxines, et inhibe certains virus. Sources : Fruits de mer, légumes, graines.
  • Manganèse : Améliore la cicatrisation et réduit l’infection. Contribue à la structure des os et des dents. Sources : Céréales, légumineuses, noix et graines.
  • Fluor : Intervient dans la formation de l’émail. Protège contre la carie. Sources : Eau, thé, café, huîtres, foie, poissons.
  • Fer : Joue un rôle dans la synthèse de l’hémoglobine et dans le métabolisme énergétique (transport d’oxygène) et l’immunité. La carence en fer est responsable d’une chéilite, une glossite érythémateuse dépapillante, une anémie hypochrome. Sources : Viandes rouges, abats, légumes secs.

Déséquilibre et Différences Nutritionnelles

Les carences nutritionnelles ne peuvent pas provoquer la maladie parodontale, mais le déséquilibre alimentaire peut amplifier les effets nocifs des irritants locaux et aggraver la maladie.

Relation entre Alimentation et Caries

Tous les types de glucides sont transformés en acides, donc peuvent être à l’origine des caries. Le grignotage est un facteur de risque dans l’apparition de caries. Une alimentation équilibrée protège les tissus buccaux. La salive protège l’émail des dents, une diminution de son débit augmente le risque de carie.

La Carie Dentaire

  • La carie dentaire est une maladie infectieuse, transmissible post-éruptive des tissus durs de la dent (émail, dentine, cément).
  • C’est un phénomène complexe, d’origine multifactorielle, qui résulte d’un processus dynamique qui entraîne une déminéralisation de ces tissus, allant d’une simple perte de minéraux non détectable à l’œil nu, à une destruction complète de la dent.

Facteurs de la Carie

Il existe quatre facteurs reconnus qui entrent en jeu dans l’apparition de la lésion carieuse :

  • Une alimentation contenant des hydrates de carbone fermentescibles.
  • Un hôte susceptible.
  • Une microflore buccale spécifique.
  • Le temps durant lequel ces trois facteurs sont réunis en bouche pour interagir et provoquer une baisse du pH sous le seuil de 5,5, auquel les cristaux d’hydroxyapatite commencent à se dissoudre.

La carie dentaire ne se manifeste que quand ces quatre facteurs sont réunis et peut être inactivée par l’absence de l’un d’entre eux.

Selon un concept plus contemporain, d’autres facteurs tels que les facteurs génétiques, comportementaux et environnementaux influenceraient également le développement de la carie dentaire.

Les Bactéries Cariogènes

Les principaux groupes de bactéries impliqués dans la physiopathologie de la carie dentaire sont les streptocoques mutans (Streptococcus mutans serotype c, e, f et Streptococcus sobrinus serotype d et g), ainsi que les lactobacilles. Les propriétés acidogéniques et aciduriques des streptocoques mutans en font les bactéries les plus cariogènes de la plaque dentaire.

La Susceptibilité de l’Hôte

Le Rôle de la Salive

La salive est constituée principalement d’eau, d’électrolytes, de protéines et de glycoprotéines. Elle protège les dents contre la carie dentaire en agissant de quatre façons :

  • Par son flux (sa clairance), elle dilue, décompose et élimine les débris alimentaires vers le tube digestif.
  • Son pouvoir tampon neutralise l’acide produit par les bactéries de la plaque.
  • Elle possède des propriétés antibactériennes grâce aux immunoglobulines sécrétrices (IgAs), lysozymes, catalases, lactoperoxydases et autres enzymes qu’elle contient.
  • Sa saturation élevée en ions phosphate, calcium et fluor intervient dans l’équilibre entre la déminéralisation et la reminéralisation de l’émail.

La Dent

Chez l’enfant en particulier, la dent en éruption est encore immature, car la calcification est incomplète. L’émail est alors perméable et plus vulnérable à la dissolution par l’acide. Avec la maturation, au contact de la salive et des nutriments, l’émail incorpore des ions phosphate, calcium et fluor dans les cristaux d’hydroxyapatites. Avec le temps, la porosité et la perméabilité seront ainsi fortement réduites.

Certains défauts anatomiques de la dent, comme les puits, sillons et fissures, ou les anomalies telles que les hypoplasies amélaires, constituent des zones de vulnérabilité à la carie. La présence de malpositions dentaires, ou le port d’appareillages orthodontiques, en favorisant l’accumulation de la plaque dentaire, et en rendant le brossage plus difficile, augmentent grandement le risque carieux.

Facteurs Alimentaires Étiologiques Essentiels dans le Processus Carieux

Caractéristiques Chimiques des Aliments

Une alimentation équilibrée contient environ 55% de glucides. La plupart des aliments contiennent des glucides et leur pouvoir cariogène dépendra de leur aptitude à fermenter et à produire des acides. Il est différent pour chaque aliment, car il dépend de la nature du glucide, mais aussi de son association avec d’autres nutriments.

Caractéristiques Physiques des Aliments

  • Les propriétés physiques de l’aliment déterminent le temps de rétention en bouche ou la clairance buccale, qui augmente le risque carieux lorsqu’elle est lente. Celle-ci dépendra ainsi de la texture, de la viscosité, de la solubilité dans la salive et de l’adhérence aux surfaces dentaires.
  • Les aliments, dont la texture impose une mastication prolongée, sont éliminés rapidement de la cavité buccale, car ils accroissent le flux salivaire et se dissolvent rapidement. Par contre, un aliment qui adhère aux surfaces buccales sera plus propice au maintien d’une acidité prolongée qu’un aliment liquide. Les boissons sucrées peuvent apporter de fortes quantités de sucre tout en restant fort peu de temps au contact de la plaque. Elles sont également à l’origine d’une forte baisse du pH.

Comportements Alimentaires

Fréquence des Prises Alimentaires
  • À chaque nouvelle prise alimentaire, le pH reste bas pendant 30 à 60 minutes, voire plus, avant de remonter. Plus les ingestions sont répétées, plus la production d’acides est fréquente et prolongée. Le pouvoir tampon de la salive est alors débordé, et la déminéralisation des dents s’intensifie. De même, si les prises alimentaires se situent à des périodes de faible sécrétion salivaire (entre les repas, le soir au coucher), elles seront cariogènes.
  • Parmi les habitudes alimentaires dangereuses, citons le « syndrome du biberon », qui est un exemple de l’effet d’une exposition fréquente et prolongée de la dent aux glucides. Les biberons d’eau additionnée de sirop, les préparations lactées sucrées, les tétines trempées dans du miel, le Coca-Cola, les sirops médicamenteux consommés plusieurs fois par jour et le soir avant d’aller au lit provoquent des destructions dentaires considérables.
Ordre d’Ingestion des Aliments
  • L’ordre d’ingestion des aliments glucidiques et non glucidiques au cours d’un repas influence également la baisse du pH de la salive. Au cours d’un repas, le dernier aliment ingéré a une grande importance sur la durée de l’acidification postprandiale de la plaque dentaire. Ainsi, le fromage consommé après un dessert sucré diminue la production d’acides à partir des glucides. La caséine et les autres protéines laitières des fromages protègent la dent en diminuant sa déminéralisation.
  • Les facteurs de protection découverts par le séquençage d’aliments particuliers peuvent également être employés afin de réduire l’influence destructrice des hydrates de carbone fermentescibles. Les lipides et les protéines consommées lors d’un repas aident à recouvrir la surface des dents afin de les protéger des sucres.

Les Déterminants Épigénétiques

De nature environnementale, socio-économique ou psychosociale, ils incluent notamment :

  • Le lieu de vie.
  • L’épanouissement dans la famille, au travail, dans la société.
  • Le niveau scolaire.
  • La situation professionnelle.
  • Les revenus disponibles.

L’hérédité aurait aussi un rôle significatif dans le taux d’incidence et dans la progression des caries en influençant la colonisation bactérienne orale.

Recommandations et Conseils Diététiques

Chez le Petit Enfant

  • Supprimer les tétines sucrées ou trempées dans le miel, surtout la nuit.
  • Limiter le nombre des prises alimentaires dans la journée dans le respect des besoins de l’enfant et de son âge.
  • À partir de 4 à 6 mois, au moment de la diversification alimentaire, favoriser la mastication, car elle augmente la production de salive. Commencer par des repas mixés, puis progressivement plus solides.
  • Brosser les dents (par les parents) dès l’éruption de la première dent, à l’eau, puis avec un dentifrice à faible concentration en fluor.
  • Consulter le dentiste à un an, puis tous les 6 mois.

Chez l’Enfant

  • Il est préférable de prendre son petit déjeuner à la maison que sur le chemin de l’école pour se brosser les dents.
  • Le goûter doit être varié et concerner tous les aliments (pain, fromage pour l’effet carioprotecteur du fromage).
  • L’enfant doit apprendre à boire de l’eau et manger des fruits et surtout à mâcher correctement pour éviter l’alimentation molle cariogène.

Chez l’Adolescent

  • Limiter la consommation des sucreries.

Chez l’Adulte

  • Pas de grignotage afin de maintenir un bon état bucco-dentaire.
  • L’alimentation doit être riche en calcium afin d’éviter la possibilité de souffrir de la perte des dents.
  • La vitamine C renforce l’immunité, en plus c’est un antioxydant, il convient donc de consommer des légumes et des fruits frais ou boire des jus naturels.
  • Boire beaucoup d’eau pour la santé (maintenir l’hydratation) et pour les dents et les gencives (maintien de la bouche humide et contribue à éloigner les caries).
  • Manger des aliments riches en fibres (augmenter le flux de la salive et permettre de neutraliser les acides).
  • Il faut limiter l’absorption des sucres et d’aliments acides au cours de la journée et boire de l’eau entre les repas.
  • Assurer une bonne hygiène, manger des légumes crus, ou mâcher de la gomme sans sucre (ADC).
  • Éviter de siroter (boire à petites gorgées sur une longue période de temps) des boissons sucrées ou acides.
  • Agrumes et jus de fruits (pamplemousse et citron) sont acides et peuvent abîmer l’émail des dents, consommer modérément et bien se rincer après consommation.

Conclusion

Une alimentation équilibrée accompagnée d’une bonne hygiène buccale est le meilleur moyen de prévenir les maladies carieuses, buccales et parodontales.

Bibliographie

  • Antonia Pérez-Martin, Michel Dauzat, Iris Schuster, Bilan Diététique et Nutritionnel, Faculté de médecine Montpellier Nîmes, Novembre 2008.
  • D. Muster, Vitamines et Oligoéléments en Odontostomatologie, EMC Stomatologie 22-013-B50.
  • Les Étapes de la Vie. Alimentation et Carie, Chantal Lamour, Diététicienne, 19-11-2003.
  • Larousse Médical.
  • ADC : Association Dentaire Canadienne.
  • UFSBD (Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire).
  • Saidal Santé, publication éditée par le groupe Saidal, Janvier 2019, ISSN 2170-080X.

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  La prévention carieuse repose sur une éducation efficace du patient et un suivi régulier.
Une anamnèse détaillée permet d’éviter de nombreux pièges diagnostiques en pratique quotidienne.
La gestion du stress pré-opératoire améliore significativement l’expérience du patient.
Les matériaux biocompatibles modernes offrent des alternatives intéressantes aux restaurations traditionnelles.
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