Traumatismes Alvéolo-Dentaires Données Étiologiques, Épidémiologiques et Classifications / OCE
Introduction
Les traumatismes dentaires touchent les enfants comme les adultes avec des évolutions et des implications différentes. Ils constituent un motif fréquent de consultation, souvent en urgence. Ils posent, par leur fréquence et par les préjudices qu’ils peuvent entraîner d’ordre fonctionnel, esthétique et psychique, des problèmes délicats en odontostomatologie. Une prise en charge précoce et une surveillance attentive sont indispensables.
Définition
Un traumatisme est l’ensemble des lésions d’un tissu ou d’un organe, provoqué accidentellement par un agent extérieur. Les traumatismes dentaires se traduisent souvent par la perte partielle ou totale de tissu dentaire, entraînant pour leurs victimes de sérieux préjudices esthétiques et fonctionnels.
Rappels
Un traumatisme dento-alvéolaire intéresse plusieurs tissus et structures. Il est nécessaire de connaître la structure d’une dent saine et de ses tissus de soutien pour déterminer les conséquences d’un traumatisme, établir un plan de traitement et évaluer son pronostic.

Chronologie de l’Éruption des Dents Temporaires
Denture temporaire | Incisive centrale | Incisive latérale | Canine | 1ère molaire | 2ème molaire |
---|---|---|---|---|---|
Achèvement de la couronne | 3-4 mois | 4-5 mois | 9-12 mois | 6-9 mois | 12 mois |
Éruption | 6-7 mois | 7-9 mois | 18 mois | 12 mois | 24 mois |
Fermeture apex | 2 ans | 2-2½ ans | 3 ans | 2½-3 ans | 3½-4 ans |
Début rhizalyse | 5 ans | 5-5½ ans | 6-7 ans | 5½ ans | 6½ ans |
Chute | 7 ans | 8 ans | 11 ans | 9 ans | 10 ans |
Chronologie de l’Éruption des Dents Permanentes
Denture permanente | Incisive centrale | Incisive latérale | Canine | 1ère prémolaire | 2ème prémolaire | 1ère molaire | 2ème molaire | 3ème molaire |
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Mise en place de germe | 5 M.V.I.U | 5 M.V.I.U | vers M.V.I.U | naissance | 9-12 mois | 4 M.V.I.U | 9-12 mois | 4 ans |
Début de minéralisation | 3-4 mois | 3-12 mois | 4-5 mois | vers 2 ans | vers 3 ans | naissance | 2-3 ans | 7-10 ans |
Achèvement de la couronne | 4-5 ans | 5 ans | 6 ans | 6-7 ans | 6-8 ans | 3-4 ans | 7-8 ans | 13-15 ans |
Éruption | 6-7 ans | 7-8 ans | 11-12 ans | 10-12 ans | 11-12 ans | 6 ans | 12-13 ans | 17-21 ans |
Achèvement de la dent | 9-10 ans | 10-11 ans | 13-15 ans | 12-13 ans | 13-14 ans | 9-10 ans | 14-15 ans | 18-25 ans |
Caractéristiques des Dents Temporaires
- Couronne : teinte plus claire ; cuspides plus pointues.
- Racine : plus fines et plus divergentes, pour laisser la place au germe sous-jacent de la dent permanente.
- Émail : plus mince, moins minéralisé, moins translucide.
- Dentine : tubulis plus gros et plus nombreux, favorisant une progression rapide des caries.
- Pulpe : chambre pulpaire très volumineuse.
- Stade I : formation = immaturité des dents, potentiel réparateur élevé.
- Stade II : maturité = fin de l’édification des racines et début de la résorption.
- Stade III : résorption.
Épidémiologie
En denture temporaire
Un traumatisme dentaire survient chez 30 % des enfants entre 1 et 3 ans.
En denture permanente
Il survient chez 22 % des enfants entre 8 et 11 ans.
Étiologies
Facteurs déterminants
- Les chutes ;
- Les collisions ;
- La pratique sportive, notamment des sports de contact (ex. boxe, rugby, judo, basketball) ;
- Les accidents de la voie publique ;
- Les agressions, rixes et violences ;
- Usage inapproprié des dents (ex. mordre sur quelque chose de trop dur) ;
- Les accidents domestiques et accidents du travail : très faibles prévalences.
Facteurs prédisposants ou aggravants
Facteurs occluso-fonctionnels
- Les malpositions dentaires (surplomb avec protrusion ≥ 5 mm expose les dents du bloc incisivo-canin).
- L’incontinence labiale et l’absence de protection naturelle par les lèvres exposent les incisives maxillaires aux fractures et luxations.
- L’existence de troubles dentaires (caries, dévitalisation, hypercalcification).
- Relief cuspidien particulièrement accentué.
- Conditions sociales et environnementales : zones défavorisées ou surpeuplées présentent plus de traumatismes dentaires sévères.
- Le sexe : les garçons sont plus exposés (jeux agressifs, comportements à risque).
- Causes accidentelles :
- Chez l’enfant : apprentissage de la marche, méfaits des cours de récréation.
- Chez l’adulte : sports violents.
- À tous âges : accidents de la route, habitudes professionnelles, manœuvres opératoires intempestives, déplacements orthodontiques brutaux.
Autres facteurs
Des traumatismes peuvent survenir lors ou suite à des soins dentaires (ex. fracture coronaire due à un choc avec un instrument dentaire ou lors d’anesthésie générale).
Physiopathologie
Les enfants représentent une population à risque pour les traumatismes dentaires et alvéolaires. Les maturations osseuse et dentaire offrent des résistances différentes aux agents vulnérants.
- L’os alvéolaire entourant une dent permanente est plus dur et bloque la dent, d’où la fréquence des fractures.
- L’os alvéolaire d’une dent temporaire est plus souple, plus meublé, d’où la fréquence des luxations et expulsions.
En denture temporaire
- Entre 6 mois et 3 ans :
- Forte croissance des maxillaires et remodelage osseux important.
- Os alvéolaire peu dense et peu minéralisé, favorisant les luxations plutôt que les fractures.
- Retard de croissance de la mandibule par rapport au maxillaire expose les incisives supérieures.
- Entre 3 et 6 ans :
- L’enfant acquiert la vitesse de déplacement, risques accrus à l’école.
- Chocs directement transmis à la dent, parfois via un objet dans la bouche, entraînant des atteintes muqueuses et osseuses.
- Os alvéolaire malléable, attaches parodontales lâches, racine raccourcie par la rhizalyse physiologique.
- En denture mixte (6-12 ans) :
- Les incisives centrales supérieures, premières à apparaître, sont les plus touchées.
- Racine courte favorise les luxations.
- Canal radiculaire large protège le paquet vasculo-nerveux, évitant souvent la mortification pulpaire.
En denture permanente
- À partir de l’adolescence, la denture définitive est édifiée, les conséquences des traumatismes sont plus lourdes.
- Activités sportives : accidents fréquents chez les jeunes.
- Rixes et agressions : causes courantes de fractures et luxations.
- Vieillissement des tissus parodontaux favorise les luxations.
Mécanismes
- Choc direct : la dent heurte l’obstacle (chute, choc) → région antérieure (groupe incisivo-canin).
- Choc indirect : la mandibule heurte le maxillaire (ex. choc sur le menton) → groupe prémolaires et molaires.
Classifications
Classification d’Ellis et Davey (1970)
- Classe 1 : fracture simple de la couronne englobant l’émail et un peu de dentine.
- Classe 2 : fracture coronaire étendue à la dentine, sans atteinte pulpaire.
- Classe 3 : fracture coronaire étendue avec exposition pulpaire.
- Classe 4 : mortification pulpaire avec ou sans perte de la couronne.
- Classe 5 : luxation complète.
- Classe 6 : fracture radiculaire avec ou sans perte de la couronne.
- Classe 7 : déplacement sans fracture de la couronne ou de la racine.
- Classe 8 : fracture coronaire totale.
Classification de Mugnier (1966)
- Fractures coronaires :
- Coronaire simple : fracture intéressant l’émail ou l’émail et la dentine, sans atteinte pulpaire.
- Corono-pulpaire : fracture intéressant l’émail et la dentine avec atteinte pulpaire.
- Fractures mixtes :
- Corono-radiculaires : fracture intéressant l’émail, la dentine et le cément, avec ou sans atteinte pulpaire.
- Fractures radiculaires.
Classification de l’OMS (1969) modifiée par J.O. Andreasen
Basée sur des considérations anatomiques, thérapeutiques et pronostiques, elle comprend les lésions des dents, des tissus de soutien, de la gencive et de la muqueuse buccale.
Traumatismes des tissus dentaires durs et de la pulpe

- Lésions coronaires : fêlures.
- Fractures coronaires simples : intéressant l’émail ou l’émail et un peu de dentine.
- Fractures coronaires compliquées : avec atteinte pulpaire.
- Fractures corono-radiculaires simples : sans atteinte pulpaire.
- Fractures corono-radiculaires compliquées : avec atteinte pulpaire.
- Fractures radiculaires.
Traumatismes des tissus parodontaux
- Concussion ou ébranlement.
- Subluxation.
- Luxation avec extrusion.
- Luxation avec intrusion.
- Luxation latérale.
- Expulsion.
Traumatismes de l’os de soutien
- Comminution de l’alvéole.
- Fracture d’une paroi de l’alvéole.
- Fracture du procès alvéolaire.
- Fracture de la mandibule ou du maxillaire.
Traumatismes de la muqueuse buccale et de la gencive
- Déchirure de la gencive et de la muqueuse buccale.
- Contusion de la gencive et de la muqueuse buccale.
- Abrasion de la gencive et de la muqueuse buccale.
Classification de Vanek (1980)
- Classe 1 : fêlure coronaire.
- Classe 2 : fracture coronaire sans exposition pulpaire.
- Classe 3 : fracture coronaire avec exposition pulpaire.
- Classe 4 : fracture coronaire complète.
- Classe 5 : fracture corono-radiculaire oblique.
- Classe 6 : fracture radiculaire.
- Classe 7 : luxation.
- Classe 8 : avulsion.
Examen du Patient Traumatisé
Anamnèse
L’anamnèse est primordiale pour préciser les circonstances du traumatisme, guider l’examen clinique et orienter le choix thérapeutique. Une fiche de soins dédiée optimise les traitements.
Premier contact (souvent téléphonique)
- Estimer l’importance du traumatisme.
- Rassurer le patient et/ou ses parents.
- Rechercher les signes d’un traumatisme crânien : maux de tête, perte de conscience, hémorragie nasale, vomissements, perte de vue → orientation vers un service spécialisé.
- Donner des recommandations :
- Récupération du fragment fracturé.
- Rinçage et réimplantation d’une dent expulsée ou immersion dans du sérum physiologique ou du lait.
- Vérification du carnet de vaccination.
À l’arrivée au cabinet
- Nettoyage des plaies superficielles avec une éponge imbibée d’un antiseptique, rinçage de la cavité buccale.
- Élimination des corps étrangers après anesthésie (spray) si souillures profondes.
- Anamnèse détaillée :
- Comment est survenu le traumatisme ? (ex. choc direct sur le menton peut entraîner fractures incisives, répercussions sur le secteur cuspidé ou l’articulation temporo-mandibulaire).
- Où s’est produit le choc ? (évaluation des risques de contamination, antibiothérapie/vaccination antitétanique).
- Quand le traumatisme a-t-il eu lieu ? (facteur temps crucial pour les thérapeutiques pulpaires, repositionnement, réimplantation).
- Recherche de périodes d’inconscience, maux de tête, vomissements, troubles de la vue (signes de traumatisme crânien → orientation hospitalière).
- Antécédents médicaux (troubles sanguins, cardiaques, épilepsie, diabète, allergies) pour guider l’anesthésie, les prescriptions ou contre-indications.
- Vérification des vaccinations antitétaniques.
- Âge du patient : influe sur le pronostic (conservation pulpaire).
Examen Clinique
L’examen doit être logique, du général au particulier, pour déceler chocs ou traumatismes cérébraux.
En consultation d’urgence
- Vérification du réflexe pupillaire, tension, pouls, saignements du nez/oreille.
- Chez le très jeune enfant, assistance de la personne accompagnante (parent allongé sur le fauteuil, enfant sur elle, immobilisation douce).
- En cas d’enfant difficile, prémédication sédative ou sédation consciente.
Examen Exobuccal : Inspection
- Inspection des plaies de la face, lèvres, menton pour évaluer la nécessité de sutures.
Examen Exobuccal : Palpation
- Palpation des rebords osseux (nez, massif sous-orbitaire, symphyse, angle mandibulaire) → douleur suggère une fracture.
- Recherche d’hématomes.
Cinétique Mandibulaire
- Limitation, déviation ou déflection de l’ouverture buccale peut indiquer une fracture condylienne ou un déplacement méniscal.
Examen Endobuccal
Examen des tissus mous
- Évaluation des lésions traumatiques des muqueuses (lacération des freins, hématomes).
- Palpation pour déceler les corps étrangers.
Examen de l’occlusion
- Analyse dans les trois sens de l’espace :
- Décalage (transversal).
- Béance ou contact prématuré (vertical).
- Faux prognathisme mandibulaire (antéropostérieur).
- Anomalies de l’intercuspidation maximale associées à des déplacements dentaires, fractures corono-radiculaires ou osseuses.
Examen des tissus durs
- Mise en évidence des pertes dentaires partielles ou totales.
- Recherche de fêlures par transillumination (lampe à photopolymériser en palatin, perpendiculaire à l’axe de la dent).
- Évaluation des déplacements, saignements, expositions pulpaires, changements de teinte.
- Chocs indirects : recherche de fractures corono-radiculaires dans le secteur molaire (fractures possibles sur l’arcade antagoniste).
- Changement de couleur immédiat post-traumatique : souvent transitoire, ne justifie pas un traitement endodontique immédiat.
Tests cliniques complémentaires
Test de mobilité :
- Mobilité axiale : indique une section apicale de la vascularisation pulpaire.
- Mobilité horizontale :
- Fracture alvéolaire si mobilité des dents adjacentes.
- Fracture radiculaire (degré de mobilité renseigne sur la localisation).
- Chez l’enfant : mobilité physiologique dans le secteur incisif.
Test aux percussions :
- Percussion axiale et horizontale (manche de miroir) pour évaluer sensibilité et son.
- Percussion axiale douloureuse : fracture radiculaire ou atteinte du ligament alvéolo-dentaire.
- Son métallique : intrusion, luxation latérale, ankylose.
- Son sourd : subluxation, extrusion.
Test de sensibilité thermique :
- Avec tétrafluoroéthane (boulette de coton) ou gutta-percha réchauffée.
- Évalue la fonction nerveuse, pas la circulation sanguine.
- Non fiable pour diagnostiquer une nécrose pulpaire post-traumatique immédiat (luxations souvent non réactives initialement).
- Perte d’excitabilité due à pressions/tensions/déchirement des fibres nerveuses apicales.
- Délai de réponse positive :
- Dent immature : environ 36 jours.
- Dent mature : environ 1 an ou plus.
- Dents immatures : résultats moins fiables (réseau sensoriel tardif).
- Dents temporaires : évaluation difficile (non-coopération).
Examen Radiologique
Complément indispensable à l’examen clinique, il renseigne sur :
- Le stade de développement radiculaire.
- La présence de fractures radiculaires.
- L’atteinte des structures parodontales.
- La recherche de corps étrangers.
- Radiographie systématique de toutes les dents de la région traumatisée, même sans lésion clinique visible.
Types de radiographies
Type de Radiographie | Méthode | Indications/Objectifs |
---|---|---|
Rétroalvéolaire | Cliché orthocentré + 2 clichés excentrés latéralement de 20° (mésial et distal) pour fractures coronaires/corono-radiculaires. 2 clichés angulés de 20° (apical et occlusal) pour fractures radiculaires. Utiliser un angulateur de Rinn. | Observation minutieuse des dents et tissus parodontaux. Évaluation de l’étendue du traumatisme et du stade physiologique. |
Mordu occlusal | Film entre les arcades, rayon à 90° sur la base du nez. | Apprécier les déplacements des dents temporaires, position de l’apex, intégrité de la lame osseuse vestibulaire. |
Radiographie des tissus mous | Film entre lèvre et dents, exposition réduite de moitié. | Détection de corps étrangers dans les tissus mous. |
Panoramique | – | Vue d’ensemble des arcades dentaires. |
Cliché latéral | Technique extraorale (jeune enfant), film perpendiculaire au plan occlusal, rayon à 90°, temps d’exposition doublé. | Évaluation des déplacements et intégrité osseuse. |
Cône Beam | Film entre lèvre et dents, exposition réduite de moitié. | Si doute entre signes cliniques et symptomatologie, ou si traumatisme étendu au-delà du complexe alvéolo-dentaire. |
Radio du massif facial | – | Traumatismes sévères. |
- Scanner en cas de doute pour éviter les erreurs de diagnostic.
- Contact parent/enfant essentiel pour sécuriser l’enfant lors des radiographies.
Certificat Médical Initial (CMI)
- Engage la responsabilité du praticien (certifier = garantir la véracité).
- Pour le patient : documente la situation initiale (utile pour assurances : soins, prothèses, orthodontie).
- Pour le praticien : justifie l’examen, le traitement d’urgence, la qualité des informations.
- Contenu :
- Date du CMI (correspond à l’examen clinique).
- Nom, prénom, date de naissance/âge du patient.
- Personne accompagnatrice (facultatif, mais utile pour mineurs).
- Délai de prise en charge (influe sur le pronostic).
- Circonstances de l’accident (direction/intensité du choc).
- Description précise des lésions, avec photo numérique si possible.
- Compte rendu de traumatisme dentaire :
- Nom, date de naissance, sexe, âge.
- Date de l’examen initial.
- Traumatismes précédents (date, dents impliquées).
- Traumatisme actuel (date, cause).
- Examen général.
- Examen intrabuccal :
- Dents impliquées (temporaires/permanentes).
- Douleur spontanée, au froid.
- Test électrique de vitalité pulpaire.
- Exposition pulpaire, dyscoloration coronaire.
- Mobilité dentaire (aucune, +1, +2, +3).
- Blessures.
- Examen radiologique :
- Édification radiculaire (complète/incomplète).
- Fracture radiculaire, lésion apicale, résorption radiculaire.
- Élargissement de l’espace desmodontal.
- Fracture de l’os alvéolaire.
- Conditions en cas d’expulsion (durée extra-alvéolaire, conservation de la dent).
- Diagnostic (fracture coronaire, corono-radiculaire, contusion, subluxation, intrusion, expulsion, extrusion, fracture radiculaire).
- Plan de traitement.
- Pronostic.
Consultations de Contrôle
- Réalisées après quelques jours, une semaine, un mois.
- Comparaison des radiographies, tests de sensibilité et examens cliniques.
- Contrôles réguliers selon l’importance du traumatisme et l’immaturité dentaire (1, 3, 6 mois, 1 an).
Bibliographie
- Davido, Yasukawa K. Odontologie Conservatrice et Endodontie Odontologie Prothétique. Paris; 2014. p. 35-50.
- Hernandez G, Naulin C, Machtou P. Traumatismes alvéolodentaires. EMC (Elsevier Masson SAS, Paris), Traité de Médecine Akos, 7-1122, 2010.
- Muller M, Bolla. Fiches pratiques d’odontologie pédiatrique. Paris; 2015. p. 219-273.
- Naulin C. Traumatismes dentaires. Paris; 2006. p. 17-147.
- Simon S, Machtou P, Perto T. Endodontie. Paris; 2012. p. 411-431.
Traumatismes Alvéolo-Dentaires Données Étiologiques, Épidémiologiques et Classifications / OCE
La santé bucco-dentaire est essentielle pour le bien-être général, nécessitant une formation rigoureuse et continue des dentistes. Les étudiants en médecine dentaire doivent maîtriser l’anatomie dentaire et les techniques de diagnostic pour exceller. Les praticiens doivent adopter les nouvelles technologies, comme la radiographie numérique, pour améliorer la précision des soins. La prévention, via l’éducation à l’hygiène buccale, reste la pierre angulaire de la pratique dentaire moderne. Les étudiants doivent se familiariser avec la gestion des urgences dentaires, comme les abcès ou les fractures dentaires. La collaboration interdisciplinaire avec d’autres professionnels de santé optimise la prise en charge des patients complexes. La santé bucco-dentaire est essentielle pour le bien-être général, nécessitant une formation rigoureuse et continue des dentistes.
Traumatismes Alvéolo-Dentaires Données Étiologiques, Épidémiologiques et Classifications / OCE

Dr J Dupont, chirurgien-dentiste spécialisé en implantologie, titulaire d’un DU de l’Université de Paris, offre des soins implantaires personnalisés avec expertise et technologies modernes.