LE MILIEU BUCCAL (PARODONTOLOGIE)
Introduction
Le concept de milieu buccal s’inspire de celui de milieu écologique, comme un espace, théâtre de multiples interactions. La cavité buccale est à la fois ouverte sur le milieu extérieur (atmosphère) et sur le milieu intérieur (tube digestif). Elle doit donc se comporter comme une véritable interface, traitant tout ce qui y transite pour le rendre acceptable par l’organisme. En plus, la bouche est le siège de plusieurs fonctions spécifiques comme la mastication, la déglutition, l’élocution et la mimique (l’expression du visage). Donc, pour répondre à ces exigences, l’ensemble des constituants de cet environnement particulier (milieu buccal) interagissent, donnant un ensemble extrêmement complexe et évolutif.
Le milieu buccal englobe les structures anatomiques qui le limitent (muqueuses buccales, langue, dents), les sécrétions salivaires (et par extension les glandes qui les produisent), le système immunitaire oral, et la flore qui colonise cet espace. L’équilibre ou les déséquilibres de ce milieu buccal conditionneront de nombreux processus pathologiques, en particulier la cariogenèse, les parodontopathies et les atteintes des muqueuses.
Terminologie
- Écologie : Science qui étudie les rapports et interactions des êtres vivants entre eux et avec leur milieu. Elle examine les relations des organismes entre eux et avec leur environnement, ainsi que les interactions déterminant la distribution et l’abondance des organismes vivants. En science, l’écologie est souvent classée dans le champ de la biologie en deux sciences :
- Biote : Ensemble des organismes vivants (plantes, microorganismes, animaux) que l’on trouve dans un biotope (habitat, région ou lieu donné).
- Biotope : Lieu de vie défini par des caractéristiques physiques et chimiques relativement uniformes, hébergeant un ensemble de formes de vie composant la biocénose.
- Biocénose : Ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace écologique donné, ainsi que leurs organisations et interactions. Ensemble, un biotope et une biocénose forment un écosystème.
- Microbiome : Aire biotique (aire de vie correspondant à une niche écologique) du microbiote, le mot microbiote désignant ici les espèces autrefois regroupées sous le terme « microflore », c’est-à-dire celles qui prédominent ou sont durablement adaptées à la surface et à l’intérieur d’un organisme vivant.
- Microbiote : Ensemble des microorganismes (bactéries, microchampignons, protistes) vivant dans un environnement spécifique (appelé microbiome) chez un hôte.
- Écosystème : Système d’interactions établies entre des groupes d’organismes et leur milieu, pouvant être défini comme un ensemble d’éléments dont les effets réciproques forment un système stable. Un écosystème est composé de :
- Communauté biotique : Tous les organismes vivants de l’écosystème.
- Milieu abiotique : Tous les éléments physiques et biochimiques de l’écosystème.
- Au sein d’un écosystème, les organismes s’agencent en groupes :
- Population : Groupe d’individus de la même espèce vivant ensemble dans un même habitat.
- Communauté : Groupe de populations, réunies de façon naturelle, vivant ensemble dans le même habitat.
- Habitat : Site où un organisme s’établit dans l’écosystème.
- Niche écologique : Désigne l’habitat de l’organisme en même temps que le rôle qu’il y tient. La notion de niche englobe celle d’habitat et la complète par une notion de fonction.
Aspects Anatomo-Histologiques de la Cavité Buccale
La cavité buccale est le segment initial du tube digestif. Elle joue un rôle dans la gustation, l’insalivation et la mastication des aliments. Elle intervient également dans la phonation, la mimique, la prise de température et la respiration artificielle.
La bouche est une cavité de forme grossièrement quadrangulaire située à la partie inférieure de la face, limitée en avant par les lèvres, latéralement par les joues, en haut par la voûte palatine, en bas par le plancher de la bouche et en arrière par l’isthme du gosier. Elle est occupée par la langue et les arcades dentaires. La bouche est revêtue dans son ensemble d’une muqueuse richement vascularisée, maintenue constamment à l’état humide par le flux salivaire.
En raison des contraintes physico-chimiques subies, les zones fibro-muqueuses sont kératinisées, contrairement à la muqueuse alvéolaire et aux zones non exposées. Les niches écologiques buccales englobent toutes les zones non exposées au contact du bol alimentaire, à l’auto-nettoyage, ou protégées de la salive, susceptibles d’abriter des microorganismes. Parmi celles-ci, on note en particulier les capuchons des dernières molaires, le sillon gingivo-dentaire (et son développement pathologique, la poche parodontale), les puits des faces occlusales, les fissures de l’émail, les points de contact interdentaires, les caries, les reconstitutions iatrogènes (amalgames, composites ou coiffes débordants) et les chevauchements dentaires.
Définition du Milieu Buccal
Le milieu buccal est un environnement physico-chimique que l’on peut assimiler à un sas (passoire), ouvert sur deux côtés (par les lèvres et le pharynx). Il représente un écosystème contenant deux partenaires qui jouent un rôle d’antagonisme entre eux :
- Écosystème buccal (milieu abiotique) : Également appelé « le trio buccal », il est constitué des dents, de la muqueuse buccale et des fluides buccaux (salive et fluide gingival).
- Écosystème bactérien (communauté biotique) : Comportant des germes qui constituent les éléments vivants de l’écosystème.
Écosystème Buccal
L’écosystème buccal est constitué des dents, de la muqueuse buccale et des fluides buccaux (salive et fluide gingival).
Les Dents
Les dents sont des organes vivants, durs, blanchâtres et implantés sur le bord alvéolaire des maxillaires. Une dent, ou odonte, est constituée de trois parties :
- Couronne : Située au-dessus de la gencive, formée de l’extérieur à l’intérieur par l’émail, la dentine et la pulpe.
- Racine : Logée dans l’alvéole, formée de cément, dentine radiculaire et pulpe radiculaire.
- Collet : Sépare les deux parties.
Les dents sont destinées à la mastication des aliments. Chez l’être humain, il existe deux types de dentition :
- Denture déciduale (lactéale ou temporaire) : Denture de l’enfant de 3 à 5 ans, composée de 10 dents par arcade.
- Denture permanente : Denture de l’adulte, composée de 16 dents par arcade.
La Muqueuse Buccale
La muqueuse buccale est constituée d’un épithélium malpighien de revêtement reposant sur un tissu conjonctif appelé chorion ou lamina propria, qui renferme des fibroblastes, des vaisseaux sanguins, des nerfs, des fibres enchâssées dans une substance fondamentale amorphe et des cellules de défense immunitaires. L’épithélium est séparé du chorion sous-jacent par la membrane basale, qui représente une zone fondamentale dans les échanges épithélio-conjonctifs.
En fonction de la topographie, la muqueuse buccale peut se diviser en trois types :
- Muqueuse masticatrice : Tapisse la gencive et le palais dur, kératinisée en surface.
- Muqueuse bordante : Revêt les versants muqueux des lèvres, non kératinisée en surface.
- Muqueuse spécialisée : Cantonnée au dos de la langue, kératinisée en surface.
Les Fluides Buccaux
La Salive
(Voir le cours sur la salive)
Le Fluide Gingival
(Voir le cours sur le fluide gingival)
Écosystème Bactérien
(Voir le cours sur le biofilm)
Facteurs Influençant l’Écosystème Buccal
Facteurs Physico-Chimiques
- La température : Constante (34 à 36°C), elle est favorable à la croissance de nombreux microorganismes. Elle peut cependant varier au cours d’une courte période lors de la prise alimentaire.
- Le potentiel hydrogène ou pH moyen : Oscille entre 6,7 et 7,3, proche de la neutralité grâce à la salive qui exerce son effet tampon. Il peut varier lors de l’alimentation et entraîner une diminution de pH à l’origine du développement des bactéries cariogènes. Dans certaines zones où la salive diffuse peu, telles que le sillon gingivo-dentaire, le pH est plus élevé, de l’ordre de 7,5 à 8,5 (absence de système tampon), favorisant des bactéries différentes.
- La présence de dioxygène (O2) : Permet la croissance de bactéries aérobies et anaérobies.
- La présence de nutriments : Apportés par la salive (origine endogène) ou l’alimentation (origine exogène). Le fluide gingival, suintant du sillon gingivo-dentaire, constitue une bonne source de nutriments pour les bactéries anaérobies strictes.
Facteurs Liés à l’Hôte
- Choix de l’alimentation : Influe sur le développement bactérien par les variations de pH et de température.
- Mécanisme de défense : Varie d’un individu à l’autre.
- Changements hormonaux : Par exemple, la grossesse.
- Système immunitaire déficient.
- Âge : En vieillissant, des changements s’effectuent au niveau des tissus dentaires (diminution de l’émail, rétrécissement de la cavité pulpaire, rétraction de la gencive) et une sécheresse buccale d’origine médicamenteuse ou pathologique peut apparaître. Les pathologies comme Alzheimer et Parkinson augmentent l’hyposialie et modifient l’environnement bactérien. Les prothèses dentaires constituent également un réservoir à bactéries.
Immunité Orale
Le milieu buccal est le premier exposé aux agents exogènes qui pénètrent dans l’organisme. Pour faire face à d’éventuelles agressions de nature physique, chimique ou bactérienne, il oppose toute une série de mécanismes de défense, innés ou acquis, spécifiques ou non spécifiques.
Immunité Non Spécifique
Jeu Musculaire
Il agit par l’action mécanique de nettoyage de la langue, des joues et des lèvres.
Muqueuse Gingivale
L’épithélium gingival constitue une barrière de défense naturelle, ferme et résistante, qui protège le parodonte contre les agressions du milieu buccal. Ce rôle est assuré par :
- La cohésion des cellules entre elles.
- L’organisation des cellules en strates.
- La substance acide extracellulaire.
- La kératinisation et l’imperméabilité de l’épithélium oral gingival.
- Le renouvellement de l’épithélium, qui agit comme un mécanisme autonettoyant.
- La desquamation, qui élimine les bactéries à la surface des cellules épithéliales.
La Salive
Elle participe à la défense du milieu buccal par :
- Son pH : Permet de réguler la balance bactérienne.
- Son flux salivaire : Assure un nettoyage mécanique des surfaces muqueuses et dentaires, éliminant en partie la flore pathogène.
- Son pouvoir tampon : Neutralise les acides formés par les germes acidophiles. La relative stabilité du pH est due au pouvoir tampon de la salive.
- Ses facteurs cellulaires : Les leucocytes ont une action protéolytique, phagocytaire et bactéricide.
- Les facteurs antibactériens :
- Lactoperoxydases : Oxydo-réductases provoquant l’oxydation de certaines bactéries, synthétisées dans les glandes salivaires, exerçant un effet antibactérien, plus bactériostatique que bactériolytique.
- Lysozyme : Enzyme fortement chargée positivement à pH physiologique, qui lyse la paroi de certaines bactéries, possédant une activité bactériolytique.
- Lactoferrine : Glycoprotéine liant le fer, épuise le milieu en cet oligo-élément indispensable à la croissance bactérienne (inhibe la croissance bactérienne par captage du fer).
- Le complément : Inexistant dans la salive parotidienne et sous-maxillaire, mais de petites quantités ont été retrouvées dans des échantillons de salive mixte.
- Les mucines salivaires : Interviennent dans la protection des surfaces buccales contre le dessèchement, les substances toxiques et irritantes présentes dans les aliments et les enzymes bactériennes en :
- Se comportant comme une barrière de perméabilité.
- Présentant des propriétés visqueuses (responsables du caractère filant de la salive) et lubrifiantes.
- Concentrant des molécules de protection à l’interface.
- Modulant la colonisation et la clairance bactériennes.
Le Fluide Gingival
Les composants du fluide gingival qui participent à la défense du milieu buccal et exercent un contrôle des populations bactériennes sont :
- Les enzymes.
- Les micro-organismes.
- Les électrolytes.
- Les leucocytes, qui exercent leur fonction protectrice par phagocytose des bactéries.
- Le complément, surtout C3 et C4.
Immunité Spécifique
Les moyens spécifiques de défense du milieu buccal sont représentés par le complément et les immunoglobulines sériques, ainsi que les immunoglobulines salivaires de type A.
Le Complément Sérique
Le sang contient des facteurs de complément, un ensemble de neuf composants protéiniques, qui sont :
- Bactéricides sur bactéries Gram-.
- Hémolytiques.
- Cytotoxiques.
Immunoglobulines (Ig) Sériques
Au niveau du sérum, on rencontre : IgG, IgM, IgD, IgA, IgE.
- IgG :
- Représentent 75 % des Ig sériques.
- Fixent le complément et neutralisent les toxines bactériennes et les virus.
- Se fixent aux micro-organismes en facilitant leur phagocytose.
- IgA :
- Représentent 15 % des Ig sériques.
- Inhibent l’adhérence des micro-organismes qu’elles recouvrent à la surface des cellules, empêchant leur pénétration dans les tissus de l’organisme.
- IgM :
- Représentent 10 % des Ig sériques.
- Substances agglutinantes cytolytiques.
- IgE :
- Présentes en très faible quantité.
- Anticorps homocytotropes qui se fixent aux mastocytes et aux basophiles.
- IgD :
- Récepteurs de surface des lymphocytes.
Les Immunoglobulines Salivaires (IgAs)
Structure
Les IgAs sont des polymères dont 90 % sont des dimères et 10 % des tétramères. Elles sont donc le plus souvent constituées de deux molécules d’IgA monomérique identiques associées à une chaîne J et un composant sécrétoire (CS).
Origine
Elles sont produites par les immunocytes locaux adjacents aux structures glandulaires.
Fonctions des IgAs
Les IgAs exercent leur effet antibactérien de plusieurs façons par :
- Inhibition de l’adhérence bactérienne aux surfaces :
- Par agglutination des micro-organismes.
- Par réduction de l’hydrophobicité.
- Par blocage des adhésines bactériennes.
- Neutralisation des toxines et enzymes bactériennes.
- Inhibition de la pénétration d’un antigène à travers les surfaces muqueuses.
Conclusion
La diversité de l’écosystème bactérien et la variété des composants constituant le milieu buccal (la salive, le fluide gingival, les dents et la muqueuse buccale) confirment la complexité et l’importance de ce milieu.
En effet, toute perturbation de l’un de ses éléments pourra entraîner une altération de l’équilibre de cet écosystème buccal, provoquant soit des lésions des tissus mous, permettant ainsi le déclenchement des parodontopathies, soit des lésions des tissus durs, favorisant ainsi l’apparition des caries.
Résumé
- La cavité buccale est un écosystème unique. Il comprend un large éventail d’habitats, notamment les dents, le sillon gingival, la langue, les joues, le palais dur et mou et les amygdales, avec leurs propres mini-conditions environnementales intrinsèques et uniques.
- La bouche humaine est tapissée d’épithélium pavimenteux stratifié (kératinisé et non kératinisé) ; cependant, cela est modifié dans certaines zones en fonction de la fonction (par exemple la langue) et interrompu par d’autres structures, telles que les dents et les canaux salivaires.
- Les tissus gingivaux forment une manchette autour de chaque dent et il existe un exsudat continu de liquide creviculaire provenant du sillon ou de la poche gingivale.
- La cavité buccale est l’une des parties les plus colonisées de notre corps. L’environnement chaud, riche en nutriments et humide favorise la croissance d’une microflore diversifiée.
- Cette flore commensale (ou indigène ou résidente) existe en harmonie symbiotique avec l’hôte, mais des maladies surviennent lorsque l’équilibre microbien est rompu, d’où ce qu’on appelle la dysbiose.
- Un des facteurs responsables de l’équilibre écologique dans la bouche est la salive, qui affecte de plusieurs manières la colonisation et la croissance des bactéries. Une fine couche de salive baigne également la surface de la muqueuse buccale.
- L’écosystème buccal comprend la flore buccale, appelée microbiome oral, les différentes microniches anatomiques de la cavité buccale et son liquide de bain, la salive.
Lecture Conseillée
- PELLAT B., BONNAURE-MALLET M., PERS J-O, MEURIC V., BOYER E. & ALARD J-É. Le milieu buccal : un écosystème. Éditeur : Information dentaire (2021), 160 p., ISBN : 978-2-36134-086.
- PELLAT B., Salives et milieu buccal – EMC [22-008-A-10]. 2011. ISSN 2352-3999, http://dx.doi.org/10.1016/S1283-0852(11)57151-4.
- SZUSTAKIEWICZ B., et al., Comportement en milieu buccal. Orthod Fr 2009;80:99135, EDP Sciences, SFODF, 2009, DOI: 10.1051/orthodfr/2009001. https://orthodfr.edpsciences.org/articles/orthodfr/pdf/2009/01/or0912.pdf.
- MARCEL GOLDBERG, C AYANOGLOU, R BENOIT, MARIE-LAURE BOY-LEFEVRE, C CHAVRIER ; Tissus non minéralisés et milieu buccal: Histologie et biologie ; Elsevier Masson ; 1997 ; 190 pages ; ISBN-13 : 978-2225840517.
- ANNA MERIGOT, C. CHATEL ; Irradiation cervico-faciale : répercussion sur le milieu buccal. Rev Odont Stomat 2005;34:155-169; https://www.sop.asso.fr/admin/documents/ros/ROSO000183/2027.pdf?v1.1.
- LAKSHMAN SAMARANAYAKE, VICTOR H MATSUBARA; Normal Oral Flora and the Oral Ecosystem; Dent Clin North Am. 2017 Apr;61(2):199-215. DOI: 10.1016/j.cden.2016.11.00.
- PHILIP D MARSH, THUY DO, DAVID BEIGHTON, DEIRDRE A DEVINE; Influence of saliva on the oral microbiota; Periodontol 2000. 2016 Feb; 70(1):80-92. DOI: 10.1111/prd.12098.
- LIGTENBERG AJM, VEERMAN ECI (eds): Saliva: Secretion and Functions. Monogr Oral Sci. Basel, Karger, 2014, vol 24, pp 40-51 (DOI: 10.1159/000358783).
- SENEL, S. An Overview of Physical, Microbiological and Immune Barriers of Oral Mucosa. Int. J. Mol. Sci. 2021, 22, 7821. https://doi.org/10.3390/ijms22157821.
LE MILIEU BUCCAL (PARODONTOLOGIE)
La prévention des caries repose sur une hygiène bucco-dentaire rigoureuse et des visites régulières chez le dentiste. La maîtrise des techniques d’anesthésie locale est essentielle pour assurer le confort du patient lors des soins. L’imagerie dentaire, comme la radiographie panoramique, permet un diagnostic précis des pathologies buccales. Les étudiants doivent comprendre l’importance de la stérilisation pour prévenir les infections croisées en cabinet. La restauration dentaire, comme les composites ou les couronnes, exige une précision technique et un sens esthétique. Les praticiens doivent rester informés des avancées en implantologie pour proposer des solutions modernes aux patients. Une communication claire avec le patient renforce sa confiance et favorise l’adhésion au plan de traitement.
LE MILIEU BUCCAL (PARODONTOLOGIE)

Dr J Dupont, chirurgien-dentiste spécialisé en implantologie, titulaire d’un DU de l’Université de Paris, offre des soins implantaires personnalisés avec expertise et technologies modernes.
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